Salutations, enfants de lumière. Je suis Saint-Germain, et aujourd’hui je ne murmurerai pas de douxDes tons apaisants pour votre confort. Je dirai la vérité : celle qui ébranle, clarifie et réveille.
Tu t’es assez plaint. Des autres. Du monde. Du destin. Mais dis-moi : qui écrit le scénario de tes pensées chaque matin ? Qui choisit la fréquence à laquelle tu les transmets à l’existence ?
Tu fais.
Et pourtant, vous errez comme si vous étiez impuissant, comme une petite créature ballottée par les circonstances, plutôt que le grand architecte de votre propre réalité. Vous affirmez vouloir le changement, mais vous défendez votre souffrance comme si elle était un héritage.
Arrêtez de vous plaindre. N’attendez plus que le monde ajuste sa température à votre confort. Le seul thermostat dont vous ayez jamais eu besoin est celui de votre esprit.
Vous n’êtes pas une flaque réagissant à chaque goutte qui tombe du ciel. Vous êtes la fontaine elle-même, l’origine, la pression, le flux. Une énergie infinie jaillit en vous à chaque instant, prête à jaillir dans la création. Mais vous avez oublié d’ouvrir la valve.
La majeure partie de l’humanité vit en utilisant à peine cinq pour cent de son énergie disponible. Le reste s’enroule à la base de la colonne vertébrale, tel un dragon faisant semblant de faire la sieste, attendant que vous vous souveniez que vous êtes le gardien de la flamme. Lorsque cette énergie stagne, vous vous sentez fatigué, lourd et désespéré, non pas parce que la vie est cruelle, mais parce que vous faites tourner un moteur cosmique à plein régime.
Tu dis : « Je suis épuisé. » Non, mon ami. Tu es sous-utilisé.
Vous dites : « Je veux manifester l’abondance. » Pourtant, vos méridiens cardiaques sont fermés, votre glande pinéale est embrumée, votre respiration est superficielle. Comment espérez-vous attirer l’énergie universelle si votre radio intérieure est débranchée ?
Vous courez après les accomplissements extérieurs : titres, reconnaissance, possessions, comme si l’infini se cachait derrière votre prochain objectif. C’est vraiment comique. Comme regarder quelqu’un chercher de l’eau assis près d’une source.
La glande pinéale n’est pas un joyau mythique ; c’est une porte d’entrée. Le cœur n’est pas un organe sentimental ; c’est un conducteur. Ensemble, ils forment votre laboratoire d’alchimie. Lorsque vous les ouvrez, l’énergie qui sommeille en vous commence à s’élever : d’abord sous forme de chaleur, puis de clarté, puis de lumière. Vous commencez à percevoir la trame de la réalité pour ce qu’elle est : élastique, immédiate et parfaitement réceptive à vos vibrations.
Si vous émettez de la peur, vous rencontrez la peur. Si vous émettez de la gratitude, vous rencontrez la création elle-même.
Alors, que faire ?
Cessez de vous identifier à l’effet. Devenez la cause.
Cessez de répéter l’histoire de la limitation. Commencez à transmettre l’expansion.
Chaque pensée est une instruction à l’Univers. Soyez précis.
Lorsque vous modifiez votre dialogue intérieur, votre monde extérieur n’a d’autre choix que de se réorganiser. La réalité obéit à la résonance.
Je vous laisse avec ce simple souvenir :
Tu n’es pas le corps fatigué qui parcourt la terre. Tu es le courant qui l’anime. Tu es la fontaine inépuisable, et à chaque instant, tu décides si tu laisseras l’eau jaillir.
ou vas-tu garder le robinet fermé et appeler ça le destin ?
avec une compassion infinie,
Je suis Saint Germain.
Source:https://eraoflight.com/2025/10/09/saint-germain-plug-in/
Traduit et partagé par les Chroniques d'Arcturius
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