Dans quelques semaines, nous aurons été inondés par une éruption solaire, que Blossom’s White Cloud appelle la « Vague d’amour » (1), et nous verrons à ce moment-là qu’il n’y a pas d’ennemi.
Il n’y a que l’amour.
Cependant, ce qui apparaîtra magnifiquement plus tard ne l’est pas maintenant.
Nous sommes en plein cœur de l’action et devons rester concentrés.
Assez parlé d’absolu, passons au relatif, au phénoménal, au quotidien.
À mon avis, nous devons rester vigilants, d’autant plus que la violence orchestrée par l’État profond agonisant n’a d’autre but que la destruction. Et nous devons y mettre un terme.
Nous aussi, nous faisons preuve de violence. Nous repoussons les ténèbres. Nous traduisons en justice ceux qui violent nos enfants, les torturent et boivent leur sang (adrénochrome).
Nous emprisonnons ceux qui introduisent du fentanyl sur notre territoire et déciment notre population. Nous dénonçons ceux qui vaccinent nos concitoyens avec des produits chimiques toxiques, les répandent dans notre air et les incorporent à notre alimentation.
Matthieu nous dit :
« Les instances universelles qui établissent des normes pour les interactions entre les civilisations ne pourraient pas cautionner l’extermination de 90 % de la population terrestre, un objectif de longue date des Illuminati. Ces derniers ne peuvent pas provoquer une troisième guerre mondiale – ils ont déclenché les deux guerres mondiales et amassé des fortunes colossales en vendant du matériel de guerre aux deux camps – et ils ne peuvent pas non plus créer et diffuser des virus encore plus mortels. »
« Les conseils estiment que le règne des ténèbres sur la planète est terminé une fois pour toutes. » (2)
Éliminer 90 % de la population terrestre ? Oui, nous ripostons . Matthew a ajouté :
« L’abondance de l’aide [galactique] n’inclut pas les actions qui relèvent des capacités des habitants de la Terre. Il incombe aux peuples d’engager des poursuites judiciaires contre les auteurs de méfaits avérés. (3) »
D’un autre point de vue, la violence existera toujours tant que nous serons dans la troisième/quatrième dimension. Un médecin commet des actes de violence sur un patient pour lui sauver la vie. Si un patient atteint d’un cancer en phase terminale souffre, un médecin peut accepter de mettre fin légalement à ses jours. Nous abattons les animaux souffrants. Nous abattons les animaux destinés à la consommation.
Tout cela est lié à la troisième/quatrième dimension, où les êtres humains ont besoin de se nourrir physiquement pour survivre et où nos pratiques médicales sont invasives. De même, là où la maladie et la mort existent parce qu’elles n’existent pas là où nous allons.
Dans toute dimension supérieure, la simple expérience de l’amour, ou de l’une de ses variations, des qualités divines, est sublime. Ce doit être comme se tenir au sommet d’une haute montagne et savoir l’effort qu’il a fallu pour y parvenir.
Et que vous recommenceriez demain pour le plaisir et la satisfaction incomparables que vous procure cette expérience.
Là-bas, aucune pensée néfaste ne pourrait vous traverser l’esprit.
Oh, oh. Ne me lancez pas sur le sujet de l’amour.
Je m’excuse, ce message est un peu long. Je vais m’arrêter là pour le moment, car ce sujet – la question de la violence et de la souffrance, ou de l’absence de violence et de souffrance – est pour moi au cœur même de la manière de sortir du dilemme auquel le monde est confronté actuellement.
Source:https://goldenageofgaia.com/2025/12/01/what-will-be-gloriously-apparent-later-is-not-apparent-now/
Traduit et partagé par les Chroniques d'Arcturius
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