Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron. 

Vivre d’authenticité. L’authenticité, la seule authenticité, est de ne s’identifier qu’à cet être de pure beauté, cet être de lumière qu’est chaque être… Faire sa dévotion de ne contempler que cela. Parce que l’on fait sa dévotion de ne contempler que cela, tout est bienvenu, tout est aimé, tout est reconnu. C’est cela aussi l’authenticité. Toutes les étapes de la manifestation, toutes les expériences, tous les ressentis, toutes les facettes du prisme sont aimés inconditionnellement. Tout est bienvenu.

Certaines expériences peuvent être un chant de gloire, d’autres peuvent solliciter la compassion et l’aide, l’être de lumière que Je Suis reconnaît toutes ces voix, tous ces chants, tous ces signaux, et leur offre l’amour inconditionnel. Aucun jugement.

Un ressenti n’est ni bon, ni mauvais, il est et c’est tout. Il peut être un indicateur d’une invitation à la guérison. Il doit d’abord être écouté et aimé, sans aucun jugement, sans entrer dans l’histoire, sans la masquer. Il est un ressenti, tout ressenti est aimé.

Aimer ne signifie pas qu’on pose dessus le jugement qu’il est bon. On ne pose pas dessus non plus le jugement qu’il est mal. Le bien ou le mal n’existent que dans le duel. Au-delà du duel, il n’est que l’inconditionnel de l’amour. Tout est vu et reconnu et accepté. Accepté, non par dépit car l’on ne pourrait faire autrement, accepté parce que c’est ce qui est, une facette du prisme.

Ainsi, dans la multidimensionnalité, tout est embrassé. Dans cette lumière de l’amour, cette lumière qu’est le cœur, tout est aimé. Aimer ne signifie pas que l’on pose un jugement. Aimer n’est pas conditionnel. Aimer c’est la vie, c’est le don. C’est la reconnaissance de la nature de ce ressenti. Comme dans la création, il y a des dizaines, des centaines de fruits, chacun à une saveur spécifique. Le créateur ne juge pas si une saveur est meilleure que l’autre. Il a la joie d’être le créateur de la diversité. De même pour l’être, les ressentis n’ont pas à être accompagnés d’un jugement. Ils peuvent être aimés dès leur naissance, avant même qu’ils aient besoin d’exploser ou de se cristalliser. Aimés, reconnus, embrassés, plénifiés parce que l’amour plénifie tout. Aimés, reconnus, embrassés, plénifiés, et l’être reste l’océan de l’amour, contemplateur ou contemplatrice de la pure beauté…

Choisir d’incarner la multidimensionnalité est acte d’amour et de dévotion. Choisir d’incarner la multidimensionnalité ne veut pas dire conceptualiser la multidimensionnalité ou l’enfermer dans le ressenti tridimensionnel. Le ressenti tridimensionnel peut être transparent et de par cette transparence, honorer la multidimensionnalité. Ou il peut être plus opaque et en apparence ne pas avoir accès à la multidimensionnalité. Et peu importe. La tridimensionnalité n’est pas le maître souverain auquel tout est assujetti. Elle n’est qu’une facette du prisme. Elle peut s’incliner et se taire dans cette connaissance absolue que seule est la lumière, cette lumière qui est au-delà du duel et qui précipite des myriades de formes et d’états de créations pour se rendre gloire, pour s’autodépasser éternellement, pour se découvrir éternellement. Ainsi, l’on ne peut rendre la multidimensionnalité prisonnière de la tridimensionnalité. On ne peut que choisir avec authenticité, avec authenticité, de rétablir la condition initiale de l’incarnation dans un corps humain.

Si l’on ne fait pas cela, l’on crée un autre concept qui s’ajoute à tous les concepts, un peu amélioré peut-être. Un concept n’est que du vent. Parler de la multidimensionnalité sans retrouver cette condition initiale qui fait que l’équilibre du corps est retrouvé et que le cœur, la porte de la multidimensionnalité, est reconnu comme étant l’ouverture éternelle. Parce que c’est bien le cœur qui est la porte vers la multidimensionnalité. Ce que le mental ne peut appréhender, ce qu’il ne peut que conceptualiser – et le concept est vide du contenu du vrai – le cœur naturellement l’exprime, le reflète, y laisse l’accès.

Alors la vie est pure magie. Et la magie est perçue dans tous les niveaux, y compris au niveau tridimensionnel. D’autres lois, la vie régie par l’intuition, la vie régie par cette magie de la précipitation de l’intention, la vie vécue à travers toutes ces synchronicités parce que l’intention naturellement est précipitée en matérialisation.

Auteur : Agnès Bos-Masseron

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Texte partagé par Les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre