La patience d’un jardinier ne se résume pas à attendre que les graines germent.
C’est une pratique de toute une vie de succès et d’échecs.
Du point de vue d’un véritable jardinier, les succès et les échecs sont attendus et ne sont donc pas vraiment catégorisés comme succès ou échec.
On voit davantage les choses en pourcentages comme les taux de germination.
Ce paquet de graines a un taux de germination de 86 %.
C’est en fait assez élevé et il faut évaluer combien de plantes sont souhaitées et ce qui peut être géré.

La moitié du paquet ou même seulement 5 graines peuvent suffire.
Gardez à l’esprit que les 86 % représentent une chance que chaque graine germe, et non 86 % du total de l’emballage.
Chaque graine plantée est une opportunité pleine d’espoir, et chaque plant recevra des soins et une culture avec amour, quel que soit le nombre de graines qui germent.
Aucun semis n’est laissé sur place.

La patience d’un jardinier nécessite également de savoir combien d’efforts seront nécessaires pour réussir et de savoir que ces efforts peuvent dépasser les résultats.
Cela n’a jamais arrêté aucun jardinier que je connais. Si c’est le cas, ils ne sont tout simplement pas des jardiniers dans l’âme.
Un jardinier passionné est motivé par l’amour et les bénéfices ne se mesurent pas par le succès de la récolte mais par la pure joie de s’engager dans le processus.

La patience est en train de planter une graine, de prendre soin d’une plante, de la guider vers une santé optimale.
Qu’il s’agisse du feuillage, de la floraison ou de la fructification, une bonne santé des plantes est une récompense que nous attendons tous avec impatience.
L’échec des récoltes ou des plantes fait partie du processus et ne doit pas être pris personnellement.
Cela devient une opportunité d’apprentissage sur comment faire ou ne pas faire quelque chose.
Ou sur la façon dont quelque chose peut être fait différemment.
C’est la vraie patience.

J’ai réalisé récemment que le cycle d’une plante ressemble beaucoup au cycle de ma journée.
Nous avons tous des saisons au cours desquelles nous nous reposons, grandissons puis fleurissons.
Ma journée commence par du repos, puis passe à la lumière du jour, suivie par le soin de soi et, à la fin de la journée, par la récolte des fruits qui en résultent.
Chaque heure de la journée apporte avec elle des graines semées, testant la germination de ces idées semées et les faisant se concrétiser.
Chacun de ces cycles se reflète comme le micro dans le macro.

En pivotant depuis mon point central du moment, je me tourne vers la macro.

J’ai vu ma vie comme un jardinier chevronné qui a été nourri et cultivé dans un but précis.
Cet objectif peut être considéré comme la floraison ou la création et la production de fruits d’une certaine sorte.
Peut-être que certains considéreraient la production comme une procréation et donneraient toute l’identité de leur vie sur la façon dont leur progéniture continue avec un tel succès ou un tel échec.
C’est une perspective valable.
Je veux voir les choses un peu différemment.
Bénis mon fils, mais il n’est pas ma fin.
Je pense que nous avons tous un but et que les enfants prennent racine, comme les stolons d’une vigne qui prennent racine et démarrent leur propre cycle.
Appelez ça un couvre-sol.

J’ai vu ma vie comme un cycle que l’on peut retrouver dans une saison, dans un mois, dans une journée, dans une heure.
Pour moi, pas encore à la retraite, mon épanouissement n’a pas encore eu lieu.
Je suis peut-être en forme de bourgeon. Je pourrais être un rebloomer.
Ayant été tout un jardin en moi, la récolte est encore un peu loin, et la floraison ? Il est encore en développement.
En ce qui concerne le cycle de ma vie, l’arrivée de l’hiver reste encore à déterminer.

Je sens le cycle à l’œuvre et je sais, je sens, je ne suis pas encore épanoui.
C’est une curiosité pour moi.
Alors quelle est ma floraison ?
Quel genre de plante suis-je ?
Cela aussi reste à déterminer, mais puis-je dire graine d’étoile ?
C’est ce qui me vient à l’esprit.

J’aime le nom de Star Seed.
L’idée de cela ferait saluer n’importe quel jardinier. Un paquet de graines d’étoiles.
Est-ce que tu vois? Germination 100% So Cool !
Le cosmos doit connaître les taux de gémination. Ils doivent savoir que de toutes les graines plantées, toutes germeront.
Mais combien d’entre eux s’enracineront dans la mémoire génétique de ce qui va se passer ici ?
Et comme tout planteur de semences, l’espoir de réussite ne réside pas seulement dans la plantation mais aussi dans la culture.

Nous sommes vraiment tous des graines d’étoiles.
Et l’ensemencement des âmes a été un semis constant pour une production constante depuis l’infini.
C’est vraiment un sentiment spectaculaire de penser que nous jouons tous un rôle dans le jardin éternel de Dieu.
Nous n’avons pas besoin de travailler dur pour être les meilleurs. Nous faisons tous partie d’un processus qui n’est ni un succès ni un échec.
Vous ne pouvez pas vous quantifier dans un processus qui est pur amour et pure joie.
Les plantes ne jugent pas, ne se battent pas et ne se plaignent pas.
Ils fleurissent là où ils sont plantés.

Peut-être qu’après la floraison, nous pourrons nous aussi germer ou envoyer nos coureurs d’expérience afin de faire fonctionner le jardin.
Qui a dit que la Terre était le seul Jardin ?
Il doit y avoir d’autres planètes prêtes à être ensemencées.
Bien sûr, Gaia voudra peut-être aussi de l’aide pour semer son prochain jardin dimensionnel.
Quoi qu’il arrive, la patience est un outil essentiel pour y parvenir.

Prochain arrêt, notre jardin cosmique.
Beaucoup d’amour à tous,
Digger24

Source:https://goldenageofgaia.com/2024/06/14/digger-patience-of-a-gardner/

Traduit et partagé par les Chroniques d'Arcturius

 


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Texte partagé par Les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre