L’autre jour, je parlais à un jeune ami qui était peut-être sur le point d’entamer une nouvelle relation.
Je l’imaginais me demander ce qu’elle devait rechercher dans une relation.
Je n’ai eu aucun problème à répondre à cette question. De mon point de vue personnel ?
Est-ce qu’il sait écouter ?
S’il sait écouter, et vous aussi, vous avez une chance d’échapper au cycle de conflit dans lequel la plupart des relations tombent à un moment donné. (1)
Comment fonctionne l’écoute ? Je vais me concentrer sur ce que j’appelais il y a quelques décennies l’écoute « réparatrice », car c’est le type d’écoute crucial, à mon avis, dans une relation.
Nous souhaitons échapper au cycle du conflit et cela nécessite une forme d’écoute plus intense que d’habitude.
La première chose est que vous n’écoutez pas ce que vous voulez entendre. Vous écoutez ce qu’il veut vous dire. Il parle parce qu’il veut que vous entendiez et compreniez quelque chose. Qu’est-ce que c’est ?
Écouter ne vous concerne pas. Il ne s’agit pas de revoir ce que vous venez de dire pour voir comment vous vous en êtes sorti lorsque l’autre parle.
Il ne s’agit pas de planifier ce que vous allez dire ensuite. Il ne s’agit pas d’un arrêt au stand où vous changez vos pneus pendant que vous réfléchissez à votre prochaine pensée.
Et il ne s’agit certainement pas d’interrompre le fil de ses pensées ou de repartir avec le micro. Il faut du travail et de la concentration de notre part pour être celui qui écoute.
S’il y a quelque chose, c’est le calme du ciel bleu de l’esprit dans lequel tout ce qu’il dit est rassemblé et étalé sur la table – pour qu’il le voie.
Deuxièmement, un feedback modéré est une bonne chose. Il montre que vous écoutez. « Tu as l’air triste. J’entends l’urgence de la situation. Cela semble dérangeant. » Et puis, laisse-le aller.
Exception : Il peut être plus facile de faire avancer les choses si vous proposez, à un moment donné, un bref aperçu de vous-même (« Je fais ça aussi ») pour montrer que vous avez une longueur d’avance. Soyez bref, puis cédez le micro.
Troisièmement, l’écoute consiste à saisir le véritable message que l’interlocuteur souhaite vous transmettre. Parfois, ce message – ou plutôt souvent, je pense – est transmis ou modifié par des gestes, des inflexions, des manières, etc.
Les mots peuvent être différents et accompagnés de différentes inflexions. Il faut « entendre » tout pour comprendre ce que le locuteur veut vous faire comprendre.
Quatrièmement, considérez tout ce qu’il dit comme un titre de chapitre et développez-le. Ne soyez pas surpris s’il répète ce qu’il a dit. La première fois, c’est pour l’histoire. La deuxième fois, c’est pour ce qu’il ressent, après avoir vu l’histoire dans son intégralité.
***
Quel est l’objectif général d’une écoute comme celle que je décris ? C’est de lui donner l’occasion de mettre tout sur la table et de voir ce qu’il fait et à quels obstacles il se heurte.
À un moment donné, il devrait avoir un « Aha ! » et tout ce qui le troublait disparaîtra. La vérité l’aura libéré. (2)
Ce type d’écoute devrait nous permettre de sortir du cycle du conflit si nous l’utilisons avec amour, sans jugement, sans interruption ni redirection injustifiée. Il désamorce et satisfait. Mais il est rare dans notre société.
Cela fonctionne à condition que les problèmes discutés soient solubles et que les deux personnes souhaitent une solution.
Je pars toujours du principe que l’orateur sait ce dont il a besoin. Il n’a simplement pas réussi à trouver quelqu’un qui puisse l’aider en l’écoutant simplement.
***
Après G/NESARA (3), les vestiges du paradigme selon lequel une femme doit compter sur un homme pour son bien-être financier disparaîtront. Pouf ! Les femmes auront un moyen de survie garanti.
Les relations peuvent alors refléter les intérêts purs de la personne et durer aussi longtemps que les deux restent intéressés. Il n’y aura plus besoin de mariage. On ne se marie pas au paradis, tu te souviens ? (4)
Ce n’est pas nécessaire. (5)
Notes de bas de page
Cycle de conflit :
Nous tournons en rond dans ce cycle, nos sentiments pour l’autre s’érodent un peu plus au fur et à mesure, jusqu’à ce que nous nous abandonnions ou que nous nous séparions. En un mot ? « L’écoute » est ce qui manque. Oh, et l’amour.
(2) Et vous pouvez utiliser la vérité pour vous guider. S’il se libère de plus en plus de la tension, la vérité est dite. À moins qu’il ne se défoule, ce qui est une bonne chose, s’il devient de plus en plus grincheux, il y a de fortes chances qu’il y ait quelque chose qui n’est pas dit ici.
Utilisez la vérité et sa libération comme guide pour savoir quoi écouter et quoi demander doucement (si c’est approprié ; ne prenez pas sa part).
(2) La loi sur la sécurité économique et la réforme mondiale/nationale, qui impose un nouvel ordre économique fondé sur l’équité, la compassion et l’universalité.
(3) Car, à la résurrection des morts,
les hommes ne prendront point de femmes
, ni les femmes de maris,
mais ils seront comme les anges
dans le ciel.
(Marc 12:25.)
(4) Il n’y a pas de raison de se marier dans les dimensions supérieures. Il n’y a pas de menaces qui nous obligent à nous unir et à nous lier. On ne fait pas face à une vieillesse frappée par la pauvreté.
J’avais l’habitude de savoir comment élever des enfants dans les plans supérieurs, mais j’ai oublié et je n’ai pas écrit à ce sujet.
Les gens se rassemblent et se séparent à leur guise, tant que cela leur convient. Ce qui rend tout cela possible, c’est l’amour que nous vivrons nous aussi un jour prochain. Si nous ressentions cet amour un instant, tout aurait un sens.
Tout ce qui concerne la famille, la sexualité, etc., est différent dans les dimensions supérieures.
Source:https://goldenageofgaia.com/2024/07/24/356199/
Traduit et partagé par les Nouvelles Chroniques d'Arcturius
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