Message d’El Morya reçu par Agnès Bos-Masseron.

La beauté de cette fraternité du vivant et de la guidance que nous offrons réside dans le regard que nous offrons en même temps que cette guidance. Nous ne voyons que la lumière, ne regardons que la lumière, ne célébrons que la lumière. Lorsque nous te guidons notre attention reste sur cet être de lumière qui est ce que tu es, ainsi l’animant, l’éveillant, la rendant concrète.

La première invitation donc est à te souvenir. Fais de même. Quel que soit le ressenti, tu peux choisir d’honorer et d’affirmer « Je Suis l’Être de lumière que Je Suis ». Bien sûr, tu ne voudrais pas l’affirmer depuis le mental, l’ego ou des émotions. Mais même si tu le faisais, au moins tu nourrirais cela, infimement peut-être puisque pour que l’affirmation, la vision, porte ses fruits elle doit être exprimée et portée depuis la pleine présence. Pourtant comprends, tu es être de détermination, tu pourrais donc te déterminer au-delà de tout ressenti à cette simple affirmation en permanence « Je Suis l’Être de lumière que Je Suis ».

Je le redis, si cette affirmation n’est pas exprimée depuis la pleine présence, elle aura peut-être une valeur infime mais pourtant une valeur, alors que si tu occultes cette réalité par quelque ressenti qui te fait croire que tu es une pauvre personne larguée dans une planète hostile, c’est cela que tu crées, et l’environnement va te refléter ce qu’est ta création.

L’incarnation est « fait de création ». L’être retrouve la pleine mémoire de la splendeur de l’Être à travers l’incarnation. La dévotion c’est d’adhérer à cela avec tous les aspects de soi, même lorsque quelques ressentis viennent en apparence occulter cela.

Comprends, plus l’identification s’intensifie, plus l’univers renvoie une image correspondant à ce qui a été projeté ou créé. La croyance de « je suis une personne larguée dans un univers hostile » crée la réalité apparente « je suis une personne larguée dans un univers hostile ». C’est une loi, ce qui est dit, pensé, ressenti, se reflète comme la réalité.

Vois-tu, lorsque tu dis « je suis une personne larguée dans un univers hostile », tu pétris la pâte de l’énergie d’être larguée dans un univers hostile. Alors la création est forte parce que tu la pétris avec la pâte correspondant à cette énergie. Lorsque tu dis « Je Suis l’Être de lumière que Je Suis », si tu le dis depuis le mental, l’ego ou les émotions sans être pleinement établie dans la pleine présence, tu pétris une pâte qui n’est pas totalement homogène. Pourtant l’impact de par la puissance du verbe créateur « Je Suis la Lumière que Je Suis », l’impact reste au niveau de « la Lumière que Je Suis », faiblement peut-être puisque tu donnes des contre-signaux. Pourtant, l’être s’en trouve renforcé, vivifié.

Notre guidance est accompagnement. Nous avons un respect infini pour la divinité de chaque être. Nous n’allons pas interférer avec le libre arbitre. Nous accompagnons, nous guidons, nous clarifions, nous inspirons. A chacun de comprendre, ce n’est qu’un film. Tu n’es pas un être tridimensionnel largué, tu es ce prisme divin et cosmique multidimensionnel. Et l’une des facettes du prisme a choisi la gloire de la tridimensionnalité pour retrouver d’un autre moyen, la maîtrise. Ce n’est qu’une des parties de toi. Tu ne peux pas prétendre que c’est le tout de toi. Où le peux-tu ?

Auteur : Agnès Bos-Masseron

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Texte partagé par les Les Nouvelles Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre