Ces derniers temps, je l’entends à nouveau. Cette vieille accusation : « Tu es alarmiste. Pourquoi ne parles-tu pas simplement d’amour ? »
Et je comprends. Parler d’obscurité, c’est comme avoir peur quand on ne s’est pas encore souvenu de sa lumière.
Prenons l’exemple des entités. Quand je parle de nettoyage des entités, quand je nomme ce qui circule dans les royaumes invisibles et comment cela s’attache à des parties non guéries de nous, certains tressaillent. Certains qualifient cela de dangereux ou de négatif. D’autres se demandent pourquoi je n’arrive pas à rester positif.
Mais la vérité est la suivante : on ne peut voir clairement que ce qu’on est prêt à voir. Et on ne peut le voir en toute sécurité qu’en connaissant sa lumière.
C’est pourquoi je parle de l’obscurité. Non pas parce que je la crains, mais parce que je l’ai vue. Et je me suis souvenue de ce qui la dissout.
La vérité ne crée pas la peur. Elle révèle seulement où la peur se cachait déjà.
La plupart du temps, quand les gens réagissent, ce n’est pas à moi qu’ils réagissent. Ils réagissent à la part d’eux-mêmes qui n’est pas prête à regarder. Ils prennent le miroir pour une menace, car la peur ne sait pas écouter. Elle ne sait que se défendre.
La peur s’intensifie lorsque la vérité s’impose. Mais la vérité ne bronche pas. Elle ne l’a jamais fait.
Et la lumière, la vraie lumière, n’a pas peur de voir ce qui n’est pas elle. Elle ne contourne pas l’illusion. Elle la rencontre, la nomme et la dissout.
L’obscurité n’a aucun pouvoir propre. Aucun. Sa seule force vient de la peur que vous nourrissez. Et la peur ne surgit que lorsque vous oubliez votre lumière.
Alors ne poursuivez pas les ombres pour les tuer. Révélez la part de vous qui n’a jamais cessé de briller.
Quand on connaît sa lumière, on n’a plus besoin de fuir le faux. On peut se tenir au centre de tout et voir clair.
Parce qu’à la fin, tu réaliseras qu’il n’y a jamais eu d’obscurité. Seulement un voile. Et ta lumière ? Elle a toujours été la clé.
Non pas pour combattre l’obscurité, mais pour la percer à jour. Pour l’intégrer. Pour devenir si vrai, si rayonnant dans cette vérité, que cette illusion n’a plus où se cacher.
La véritable « semer la peur » ne consiste pas à nommer le faux. Elle consiste à faire comme s’il n’existait pas. Et je ne participerai pas à ce sort.
Alors si vous êtes prêt à vous rencontrer, non pas la version polie par des platitudes spirituelles, mais celle forgée dans la vérité et couronnée dans le souvenir, vous me trouverez là où la lumière commence.
Non pas dans le déni, mais dans la clarté.
Le véritable portail a toujours été à l’intérieur de vous.
Avec tant d’amour…
De mon cœur au tien…
Source:https://goldenageofgaia.com/2025/07/23/kerry-k-calling-it-what-it-is/
Traduit et partagé par les Chroniques d'Arcturius
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