J’expérimente cette paix que je ressens.
J’ai découvert que je pouvais trouver la paix en moi. Jusqu’à présent, je la respirais du fond du cœur ou j’attendais qu’elle me « visite », comme un souffle de bonheur ou une vague d’amour. Mais la paix ne flotte pas. Elle est, tout simplement.
Une fois que je le reconnais pour ce qu’il est, il s’épanouit en moi et je ressens un sentiment de solidité. (1)
Mais cette fois, je l’ai cherché et je l’ai trouvé. C’est vraiment une nouveauté.
Maintenant, l’amour surgit lorsque je l’exhale et j’ai donc la combinaison, à ce moment-là, de l’amour et de la paix.
Dans ce contexte, les élections canadiennes ont lieu aujourd’hui. Une voiture vient de foncer dans une fête de quartier à Vancouver, tuant 11 personnes, ce qui place la sécurité publique au cœur de la campagne. Et cela amène l’électorat, je crois, à se demander lequel des deux candidats est le plus humain, à qui faire davantage confiance, etc.
Je sens mes jambes trembler quand je pense au chaos auquel nous sommes tous confrontés en ce moment. Mais j’insuffle de l’amour dans cette partie de mon corps et je la maintiens en paix. Je l’utilise comme une lance à incendie pour éteindre les flammes de l’anxiété et de l’inquiétude. …
J’utilise maintenant l’amour comme du Windex, et ma paix est la fenêtre plus l’homme qui l’essuie.
Le proverbe avait raison lorsqu’il disait que tout dépendait de ce que je nourrissais : l’anxiété ou la paix. Cette paix, cette paix d’une dimension supérieure dont moi, un guerrier de jeunesse, je ne savais absolument rien à l’époque, me permet de m’accrocher à l’amour lorsque ce dernier fait son apparition.
L’amour est vraiment le bois, les clous, la colle et le solvant. La paix est le fondement de la maison que l’amour construit.
L’amour se construit de lui-même. Nous pouvons l’utiliser aveuglément. Nous pouvons construire à partir de lui sans savoir que c’est de l’amour que nous construisons. Mais d’une manière que j’ignore, l’amour reflète nos désirs d’avoir ou de rejeter ; il attire et repousse ; et, d’une manière que je ne comprends pas mais que j’entrevois, l’amour construit ce que nous voulons.
On ne peut pas écouter l’orchestre tant que le public bavarde. La paix est la condition sine qua non pour que la pièce commence.
Et je ne parle pas de paix extérieure, même si cela aide. Mais il n’y a pas de paix extérieure maintenant, alors quel espoir y a-t-il pour nous ?
L’espoir naît du fait que l’amour est présent dans la guerre comme dans la paix, dans les ghettos comme dans les palais, dans le chaos comme dans l’harmonie. La paix n’existe peut-être pas.
C’est peut-être trop demander dans certains pays, comme le Zimbabwe de Cathy Buckle, par exemple. Pour l’instant, en tout cas.
Mais l’amour est toujours présent, toujours là pour être respiré du fond du cœur, le siège de l’âme, là où réside le Soi.
Il est intéressant de constater que, dans les situations les plus désespérées, où nous sommes réduits à ce qui ne nous quitte jamais, l’amour demeure toujours. Nous conservons le pouvoir d’attirer et de repousser. … Intéressant…
Notes de bas de page
(1) Michael a reconnu que demeurer dans la paix, c’est comme avoir les pieds sur du granit, sur un sol solide :
Archange Michael : Donc, quand vous pensez à ce que vous devriez faire, êtes censé faire, pourriez faire, et que cela n’allume pas ce feu d’excitation, ni ce granit de paix, alors on vous donne une information importante : « Regardez ailleurs. » Est-ce clair ? (« Transcription ~ Archange Michael : Vous avez choisi d’être le nouveau paradigme de l’amour, 31 mai 2018 », 7 juin 2018 sur http://goldenageofgaia.com/2018/06/07/transcript-archangel-michael-you-have-chosen-to-be-the-new-paradigm-of-love-may-31-2018/ .)
Source:https://goldenageofgaia.com/2025/04/29/peace-is-the-foundation-of-the-house-that-love-builds/
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