Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron.
La création n’est pas figée. Les temples de lumière ne sont pas figés dans un espace quelque part, que ce soit dans la terre intérieure, quelque planète ou quelque autre lieu. L’ouverture s’accompagne du fait que l’espace est transcendé. La réalité des temples, des paradis, des espaces célestes, transcende la notion de l’espace tridimensionnel. Même les civilisations d’harmonie que l’on dit résider dans la terre intérieure transcendent l’espace tridimensionnel.
Illusoires ceux qui croient pouvoir donner des indications selon les données tridimensionnelles. Trop souvent des êtres ont un aperçu puis retournent dans le monde mental pour transcrire de façon mentale ce qui est l’au-delà du mental. Cela n’a aucun sens. On en arrive alors à la description des mondes célestes selon les critères tridimensionnels. Cela n’a aucun sens…
…La civilisation d’harmonie n’est pas inscrite dans quelque futur, elle est là maintenant animée par ceux qui se donnent la peine de sortir des contextes du monde mental et du monde égotique, vouloir posséder le monde lumineux, comme l’on arrive après une longue escalade au sommet, pensant toucher le soleil. Le soleil ne peut être touché, il peut être incarné. Car cette réalité, la vie lumière résultant naturellement de l’ouverture du cœur, résultant naturellement de l’intensification de la présence au souffle, cette réalité permet la réalisation en sous-produit, que dans chaque parcelle de la structure corporelle est tout le cosmos, que le soleil est fondu au cœur du cœur, que le cœur du cœur est dans chaque cellule. La structure osseuse alors est lumière, le feu de la flamme éternelle…
…Cela est dit très souvent, l’heure est au grand choix. Et le choix est quotidien. Et pour chaque être, dans chaque moment de maintenant, cela devient plus évident. Les deux extrêmes semblent renforcés. D’un côté la danse d’être éternelle lumière, d’un autre côté la crispation, le fait de s’accrocher à l’apparence de l’opposé de la lumière, oubliant que ce qui est le trésor est l’au-delà de cette lumière qui a un opposé, oubliant que ce qui semble être les espaces célestes ne sont pas localisés ou localisables dans cet espace-lumière qui reste l’opposé d’un espace-ténèbres…
…Cette image de l’humanité tridimensionnelle qui voudrait secouer le joug des ténèbres pour en triompher n’est qu’un mythe, car simultanément cette humanité tridimensionnelle est être cosmique. En même temps, l’on veut rester authentique et qu’est-ce que l’authenticité ? Ce n’est pas de s’accrocher aux ressentis d’une personne qui se croirait enfermée ou aveugle. La seule authenticité est de dire oui à « Je Suis l’éternelle lumière », un oui total accompagnant toutes les parties de soi dans ce oui.
Auteur : Agnès Bos-Masseron
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Texte partagé par Les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre