Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron.
C’est la plus belle histoire d’amour, la forme coule vers sa source, la source coule vers la forme… L’aspect tridimensionnel l’oublie, se croit isolé et crie pour retourner vers sa source, ne voyant pas que la source est là, dans chaque étape, dans chaque moment, que la perfection est inhérente à ce qui semble être fragmenté et qui, en fait par la loi cosmique, est éternellement relié.
Le jeu de l’incarnation est de ramener cela en conscience. Vivre en conscience cet appel vers la source, ce don de soi à la source, ce don de la source qui est là partout toujours. Le don du plus céleste présent dans chaque forme densifiée, le don du plus sage présent dans chaque expression, est le don de l’amour parce que c’est l’amour qui initie cela. C’est l’amour qui est le moteur de cela. C’est l’amour qui est le moyen pour cela. Et chaque forme alors se reconnaît comme étant la plénitude de l’amour. Il n’est que cela.
Et même dans ce qui semble être l’oubli, la forme la plus dense, est imprimée la mémoire de la perfection. Le jeu de l’incarnation est de vivre cela en conscience. Le jeu de l’attention est de ramener la pleine conscience sur cette union et cette relation entre l’être-lumière, l’être tridimensionnel, et toutes les phases de manifestation entre ces deux. Vivre cela en conscience, l’inviter par l’écoute, cette écoute qui s’incline éternellement et invite à se taire, hors de l’excitation, hors de ces enfantillages de personnes qui croient devoir faire du bruit pour être entendues. Le silence est bien plus puissant. Il est la source de l’écoute, la source de toutes les formes. Ainsi, ramener la pleine conscience sur cette relation qui est inexorablement, éternellement.
Si la forme-lumière ne venait pas éternellement rencontrer la forme densifiée, la forme densifiée s’écroulerait dans le néant. C’est bien la conscience lumière, le corps de lumière, le corps de son, le corps d’adoration, qui est la vie, qui soutient, qui maintient, d’où tout naît et vers laquelle tout retourne.
La vie est lumière. Ce ne pourrait être autrement. La vie est lumière. Et tout est la vie, du plus dense au plus subtil, hors du duel. Dans le jeu de la diversité, la même loi, seule est la lumière densifiée dans des myriades de formes qui restent lumière. Et la relation dans chacune de ces formes, entre le plus dense et le plus subtil, est la plus belle histoire d’amour.
Cela nourrit. Cela est exaltant. Cela fait exulter. Cette exaltation empreinte du silence des danseuses et des danseurs cosmiques qui prennent les étoiles-silence et par leur danse les ramènent au cœur du Vénérable.
L’être humain est divin toujours. Sortir de l’oubli pour vivre simplement.
Alors, ce qui était nommé miracle, est chaque instant de la vie quotidienne, simplement.
La conscience est lumière. Le corps rétabli à l’équilibre, est nourri par la lumière qui l’émane, et dévoile ici et maintenant sa réalité lumière. Alors un autre mode de fonctionnement, le discernement, est au-delà des mots ou de la compréhension mentale. Il est la lumière qui est cognition de ce qui est, la lumière qui émet et reçoit l’amour, qui connaît et reconnaît. Cela se traduit par un autre mode de fonctionnement. L’expression alors fait abstraction des mots. La lumière parle, sait. Et s’il y a usage de mots, chaque mot est empreint de silence.
Auteur : Agnès Bos-Masseron
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Texte partagé par Les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre