Inspiration de l’Être exprimée par Agnès Bos-Masseron.
Vous le savez, on perçoit selon la fréquence dans laquelle on choisit d’être établi. Le mot « choisit » est d’importance. Alors que l’humanité se croit, pour la plus grande partie, plus ou moins assujettie, plus ou moins enfermée dans cette trame de croyances, de concepts, enfermée dans l’illusion du temps linéaire, de l’espace, de la cause, de l’effet, du déterminisme, heureux ceux et celles qui choisissent la vibration de la grâce.
La trame fait croire qu’il faut travailler pour établir l’affluence, qu’il faut voyager pour établir la sagesse ou retrouver quelque sens de liberté. Illusion de la vibration tridimensionnelle. Il est vrai, cela demande la détermination de la fréquence lumière pour choisir de s’établir dans une autre fréquence. Et là, la trame n’existe plus. Le mot « détermination » est d’importance. Il est synonyme de passion, la passion d’être authentique à la seule vérité, à la seule réalité « seule est la lumière ».
Encore une fois, heureux ceux et celles qui choisissent de n’admettre comme paradigme que le fait que la lumière est au-delà du sombre ou du lumineux. Alors l’on cesse de vouloir lutter contre le sombre pour s’établir comme dévot de la lumière. Et la dévotion, vous le savez, passe par l’incarnation. Porter la vision de la Terre lumière, de la vie lumière. Porter la vision c’est l’incarner.
À l’intérieur de la trame, beaucoup aspirent à la liberté, à une vie spirituelle, tout en gardant les mêmes paradigmes « il faut travailler pour que vienne l’affluence, il faut lutter pour triompher de l’ombre, il faut voyager pour réaliser ses aspirations ». A l’intérieur de la trame, les concepts peuvent être véhiculés et rien ne change. Rien ne change.
Depuis des milliers d’années, certains aspirent à la lumière tout en ne faisant pas le choix de déposer au cœur de la lumière les concepts de sombre et de lumineux, de pénurie ou d’affluence, de lutte. Les civilisations et les traditions sont devenues des concepts, des archétypes au sein de la trame. Et dans la Terre tridimensionnelle, aucun pays n’échappe à cela.
Pourtant simultanément est la Terre lumière. Celle-là ne se visite par aucun voyage. Les lois de celle-là ne se gagnent par aucun travail. Ce qui établit concrètement chaque être hors de la trame et dans la fréquence lumière, c’est le lâcher-prise, l’amour, la dévotion.
Le passeport, c’est le corps. Le passeport entre la vie tridimensionnelle et la vie lumière – cette lumière qui est au-delà du duel – c’est le corps. Le corps dans toutes ses couches, le corps physique, le corps éthérique, astral, le corps de lumière, ce corps de lumière qui est la source, la nature et le jaillissement de tous les corps. Et de chaque corps, jaillit une réalité plus ou moins dense, plus ou moins établie dans l’évidence que seule est la liberté.
Il est vrai, être établi dans la vie lumière, dans ce paradis qu’est la Terre, dans ce paradis qu’est le cosmos, dans ces êtres divins qu’est chaque être humain – divin, profondément divin – cela demande la passion de faire le choix de n’honorer que l’évidence « seule est la lumière ».
Honorer cette évidence par l’attention et l’intention. Je me réveille le matin, où suis-je et qui suis-je ? Est-ce que je suis un pantin qui suit une histoire tridimensionnelle ? Il faut bien revêtir son armure pour lutter contre l’ombre, revêtir son armure pour acquérir l’abondance, revêtir son armure pour gagner la santé parfaite, revêtir son armure pour vaincre la mort… Quelle armure ?
Quelle armure ? Il n’y en a qu’une, la trame, ce ramassis de croyances et de concepts que l’on véhicule ou contre lesquels on se bat, c’est la même chose. Entrer dedans ou y résister, c’est la même chose. Cela leur donne vie et cela devient l’armure. Et l’on se réveille le matin, revenant pourtant de l’évidence que seule est la lumière, revenant du paradis qu’est la Terre, des jardins célestes. Ils sont bien connus ces jardins célestes. Ils sont notre demeure, n’est-ce pas ? Et l’on se retrouve sur un lit qui semble être matière et l’on oublie. Et l’on croit qu’il faut revêtir son armure pour conquérir la lumière. Quelle illusion ! Comment conquérir ce que l’on est ?
Heureux ceux et celles qui se réveillent le matin emplis de l’intention d’être le dévot de la joie, la dévote de l’amour, de la lumière. Et la dévotion s’exprime par le fait de ne porter son regard que sur cela, et de recréer dans la structure et la texture de ses corps, la fréquence du vrai, du beau, du bon. Il n’est que cela.
Auteur : Agnès Bos-Masseron
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Texte partagé par Les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre