Dans la nuit des temps, des déesses venues d’Alcor dans la Grande Ourse ont choisi cette planète pour l’aménager. La Terre était sauvage, Elles l’ont terraformée. Ici tout vient d’Elles, tout est à Elles. Nos aïeules ont été leurs esclaves, nous sommes leurs locataires. La nuit des temps a laissé place au jour. Elles nous ont comblé de dons. Éveille-toi, c’est l’heure. Prends ton vol avant que la nuit tombe.

La treizième tribu

Livre des Déesses, versets 1 à 5

Elles sont noires et pourtant belles, ces géantes dames.
2 Si belles et si grandes que nous sommes toutes tombées à genoux.
3 Leur couleur de peau est belle comme le miel sombre, précieuse comme l’ébène.
Étant leurs filles, nous avons la même peau qu’elles, de la même couleur, mais moins brillante.
5 Nous sommes fières de ressembler à nos mères des étoiles.

Je suis noire et pourtant belle, dira Balkis à son bien aimé Salomon, d’origine divine tout comme elle. Ce sont les tout premiers mots du Cantique des Cantiques, attribué au roi poète, à l’empereur magicien, au grand-père du Beta Israël, au demi-dieu volant. Mais rédigé par un raciste anonyme longtemps après le règne du grand roi.

Le racisme était déjà passé par là, pour que Balkis, Reine de Saba, soit obligé de s’excuser de sa couleur de peau. Et le rédacteur blanc d’ajouter : Pourtant belle! Une bonne amie gabonaise m’a raconté ce dicton de chez elle:
« Quand un blanc est beau, il est beau. Quand un noir est beau, mon dieu qu’il est beau!
Quand un noir est laid, il est laid. Quand un blanc est laid, mon dieu qu’il est laid! »

Le Beta Israël est la treizième tribu d’Israël, dans laquelle la tradition juive voit une tribu d’Europe Centrale comme ancêtre des Juifs Ashkénazes. Je ne crois pas à cette version. La treizième tribu est un livre d’Arthur Koestler publié en 1976. Il défend la thèse selon laquelle les Juifs d’Europe de l’Est et leurs descendants, c’est-à-dire les Ashkénazes, ne descendent pas (ou peu) des anciens Israélites, mais principalement des Khazars, un peuple originaire de la région du Caucase du Nord qui a été converti au VIIIe siècle au judaïsme et aurait migré plus tard vers ce qui est aujourd’hui l’Europe de l’Est, sous la pression de tribus nomades venues d’Asie centrale. Koestler se réfère aux travaux de l’historien israélien Abraham N. Poliak. (lire la suite)

Pour moi le Beta Israël descend en ligne directe du grand Salomon. Ce sont les Juifs d’Éthiopie. Ces Juifs noirs de peau sont la descendance de Ménélik, fils de Balkis et Salomon. On peut y voir un lien, au moins affectif, avec le mouvement Rastafari de la Jamaïque.

Sous la bannière de Bob Marley, les Rastas jamaïcains vouaient un culte à leur pape fondateur, Haïlé Sélassié, l’empereur d’Éthiopie. Né le 23 juillet 1892 à Ejersa Goro, dans l’Empire éthiopien, et mort le 27 août 1975 à Addis-Abeba, Tafari Makonnen dit Haïlé Sélassié, a été le dernier empereur d’Éthiopie de 1930 à 1974.

Tout au long des siècles, les Juifs du Beta Israel ont mené de nombreuses guerres contre d’autres tribus à travers l’Éthiopie – certaines chrétiennes, d’autres musulmanes – et ont été soumis à de nombreuses tentatives pour les convertir par la force.

Les Déesses bisexuées

Livre des Déesses, versets 6 à 12

La nuit, les Éloha ont la peau couleur du ciel de nuit.
7 Dans leurs yeux brillent mille étoiles.
8 Le jour, leur ventre a la couleur de l’océan profond.
9 Des gemmes et des perles y scintillent.
10 Leurs cheveux sont de soie et d’organdi.
11 Leur parole est comme une tempête.
12 Leur sourire comme une fleur juste éclose.

Selon la mythologie grecque, Gaïa est née des ténèbres primordiales et a surgi au tout début de la création. Son émergence marque le commencement de l’univers et de la Terre elle-même. Elle est intimement liée aux éléments naturels et aux forces de la Terre. Cette entité est la personnification de la Terre en tant qu’entité vivante et nourricière. Son union avec le Ciel (Ouranos) donne naissance à une descendance puissante, marquant ainsi le début de la généalogie divine. (wikipédia)

Les Eloha sont les grandes déesses venues du ciel, de la planète Our / Ur sous l’étoile Alcor, dans Ursa Major, la Grande Ourse. Gaïa est un habillage fabriqué par les premiers patriarches. Eloha –et non Gaïa– nées du noir profond de l’espace lointain, qui fut habillé en ténèbres primordiales.

On peut tracer cette origine en décomposant le Ciel des Grecs, Ouranos / Uranus. Our ahn nos, en anglais Ur ahn usOur notre ancêtre

Le patriarcat que nous connaissons fait suite à une très longue ère matriarcale qui s’est terminée tragiquement. Les Amazones, ancienne garde royale de la Déesse ont fait régner la terreur sur les petits mâles. Ces derniers ont fait le serment de ne plus jamais laisser le pouvoir à ces géantes cruelles et dégénérées.

D’où le sexisme qui sévit encore sur les deux tiers de l’humanité. La Femme, sexe fort, douée pour l’organisation et bien meilleure que l’homme dans la gestion de la tribu, n’a plus rien en commun avec ces foutues Amazones. Aujourd’hui condamnée à une soumission imbécile aux plus faibles, elle ne mérite certes pas les avanies que trop de crétins machos lui font subir.

On a oublié que la race noire est la première qui fut créée à l’image de la Déesse, comme on a occulté la primauté du matriarcat. Si le patriarcat est plutôt récent — quelques milliers d’années tout au plus — le matriarcat a duré plus de cent mille ans, depuis l’arrivée sur Terra de la Déesse et des géantes noires chargées de terraformer notre planète alors sauvage.

À leur image

Livre des Déesses, versets 11 à 15

11 Les Eloha étaient mâles par la force et femelles par le corps.
12 Nous avons toutes été créées à leur image, nous sommes les humaines mâles-femelles.
13 De nos corps et du moule sont issus les lignées qui ont peuplé la Terre.
14 Elles ont occupé la terre entière, jusqu’en ses confins.
15 Armées de la grâce divine, elles ont quitté la terre pour aller jusque sur sa jumelle et sa sœur.

Les mythologies affirment que les premières humaines ont été créées à l’image de leurs créatrices. Elles étaient moitié mâles, moitié femelles comme leurs créatrices, que la tradition hébraïque appelle Elohim. Elles étaient sept mâles et sept femelles, chaque femelle appariée à un mâle, et chaque mâle soumis à sa femelle. Leur vrai nom, je l’ai restitué sous la forme Eloha.

Les humaines qu’elles ont créé ont peuplé toute la terre, même les montagnes les plus reculées, les îles les plus lointaines, les déserts les plus arides. Elles avaient pour tâche d’améliorer leur habitat hostile pour le rendre semblable au paradis terrestre, qui flottait dans le ciel du nord. Elles ont utilisé les astronefs divins pour peupler sa jumelle la Lune et sa sœur Mars.

Les colonies des humaines sur la Lune ont laissé des traces encore visibles. Les premiers astronautes US à y poser le pied ont vu ces témoignages, des photos existent — ou ont existé. La NASA souhaitait les rendre publiques, mais tous les présidents US ont bloqué cette information « trop dangereuse, de nature à bouleverser les croyances des peuples et à détruire les religions, la morale et l’équilibre psychologique mondial. » (source)

Les femelles d’abord

Livre des Déesses, versets 16 à 21

16 Elles ont deux sexes, celui des femelles et celui des mâles.
17 Il y a deux sortes de reproduction, selon qu’on vient du pré-existant ou de la terre elle-même.
18 Issues du pré-existant, les déesses se multiplient par la séparation.
19 Issues de la terre et formées de la glèbe, les humaines naissent par moulage.
20 Les femelles sont nées d’abord, elles furent longtemps les seules.
21 Qu’ils soient divins ou humains, les mâles sont venus beaucoup plus tard.

On trouve dans la mythologie grecque une description étonnante des premières humaines hermaphrodites. Leur corps avait deux faces et pas de dos : une face était féminine, l’autre face masculine. Pas de dos?! Comment faisaient-elles caca?

On l’a compris, cette description est purement imaginaire. Les femelles divines étaient bisexuées, mais n’avaient certes pas deux faces, même si la Bible décrit des créatures volantes elles aussi dotées de deux faces au sexe différent. Il ne faut pas s’en émouvoir ni prendre ces descriptions à la lettre.

Les légendes concernant les Déesses d’Avant se sont transmises oralement pendant des millénaires. Ceux qui les ont écrites pour la première fois appartenaient à un nouveau monde, de type patriarcal, dénué de technologie, sans mémoire des faits qui ont jadis marqué l’histoire de notre espèce. Et désireux avant tout de minimiser le rôle des femelles.

Si nous pouvons dire de quelque chose « c’est nouveau », cela existait déjà dans les siècles précédents. (Roi Salomon)

Aujourd’hui, grâce aux investigations des scénaristes de science-fiction, les mythologies profanes et religieuses peuvent enfin livrer leur secret. Pour tout un chacun, les mystères enseignés dans les cultes antiques sont devenus des évidences droit sorties de films ou de BDs. Encore quelques générations et tout ce que je révèle dans ce site sera enseigné dès la maternelle.

La physique quantique aura modifié radicalement les modes de vie et nos religions appartiendront au passé obscurantiste et superstitieux dans lequel nous sommes encore plongés.

Tout le monde, même les scientifiques rétrogrades, auront compris que le monde où nous vivons est virtuel. Une prison de matière dans un monde spirituel. Notre présent sera considéré comme le temps du Grand Passage.

Terraformeurs

Les Furies Amazones

Livre des Déesses, versets 22 à 28

22  Elles sont nos mères chéries.
23  Leurs filles sont bienveillantes à l’égard des humains.
24  Toute leur descendance a gardé cette conduite.
25  Et la Mère Primordiale s’est endormie.
26  Les mauvaises géantes ont traqué les mâles de notre peuple.
27  Nous avons craint la disparition pure et simple de notre espèce.
28  Il a fallu rester cachés des mois entiers.

La mythologie grecque donne cette version virilisée. Le premier conflit auquel a participé la Déesse Primordiale est la rébellion des Titans contre leur père, Ouranos (le Ciel). L’histoire commence lorsque Gaïa, la Terre, est en colère contre son mari Ouranos pour avoir emprisonné les Titans dans les profondeurs de la Terre (Tartare) par peur de leur puissance et de leur rébellion potentielle. Elle voit cette situation comme une injustice envers ses enfants et décide de prendre des mesures pour les libérer et les venger.

S’il est vrai que les Amazones ont précipité par leur cruauté la fin du matriarcat, la version grecque mélange tout. Il faut d’abord inverser les sexes, cette légende a été revisitée par le patriarcat dominant. Pour les Égyptiens, la Voûte Céleste, Nout, est une Déesse, tandis que la Terre est Geb, un Dieu mâle. Il faut entrer dans cette vision qui remet l’église au milieu du village, et la Déesse au milieu de la Grande Ourse.

Elle a longtemps arbitré les conflits de Terra. Elle a maintenu le Dieu mâle à sa place subalterne. Mais la Déesse est Reptilienne. Elle traverse donc des périodes de dormance, comme tous les reptiles. Quand la chatte n’est pas là, les rats font la java.

Le maha yuga dure 64 000 ans. Tous les soixante mille ans, la Déesse entre en dormance pour une durée de 4000 ans. C’est le kali yuga, l’âge des Ténèbres où nous sommes encore. Les mauvais dieux nos maîtres font régner le désordre et la vilénie.

Quand la Déesse refait surface, un nouvel âge d’or commence. Encore 4 siècles d’attente. Que restera-t-il de notre temps? De notre monde? Rien, je le crains.

Soleil Invaincu

 Livre des Déesses, versets 29 à 32

29 Le Soleil du Nord brille jour et nuit comme cent soleils.
30 Les Déesses ont veillé sur les Filles des Humaines.
31 Les Amazones se sont éloignées comme une nuée d’orage qui passe.
32 Après leur passage, il ne restait rien du monde d’avant.

Soleil Invaincu, tel est le nom que lui donne la Rome Antique. Pour les Grecs, le Soleil est perché au dessus du pôle nord. Hyperboréal, il brille si fort qu’il éblouit. Nul ne peut le regarder en face.

Les Déesses nos maîtresses y ont leur île. Les géants en occupent une autre. Les Fées font chanter la troisième. Les nains sont dans la dernière. Les fées sont filles des humaines et des dieux, ou des humains et des Déesses. Si celles-ci ne les protégeaient pas, les humains les tueraient. Ils n’aiment pas les fées, jeteuses de sorts, voleuses de mâles.

Le départ en exil des Amazones fut une bénédiction pour Terra. Trop de sang versé, trop d’horreur cannibale. Les Amazones sont pires que les Archontes. Il ne fait pas bon se trouver sur leur chemin. Fais-toi petit, l’ami. Ces gueuses ont toujours faim.

Sans elles, sans les ogresses, Terra connaît des années de printemps. La chaleur et la lumière viennent toute l’année du grand soleil d’Hyperborée. La peur est partie d’un coup. Ont refleuri les rires autour des feux de joie. De tous côtés la fête et les amours nouvelles, annonciatrices du renouveau, messagères d’enfants, porteuses de vie, semeuses de bonheur durable.

Le règne des Archontes

Livre des Déesses, versets 33 à 37

33 Notre planète est dirigée depuis toujours par un dieu mauvais.
34 L’éternel Empereur a pris refuge dans les entrailles du sous-sol.
35 La Déesse ne peut rien contre lui.
36 Elle règne d’abord sur la Voûte Céleste
37 les Étoiles Sœurs aux Dix Mille Filles.

La Déesse gère un empire stellaire de mille Sœurs, avec dix mille planètes unies. Terra compte beaucoup pour elle, mais dormir est la loi vitale de son espèce. Pour l’instant, sa dormance dure depuis 4000 ans. Il faudra encore patienter quatre siècles pour que son règne arrive. D’ici là, l’immonde Mammon n’a pas fini de nous agiter son sale fric sous le nez.

Ce dieu mauvais, mâle de surcroît, est l’héritier d’une civilisation florissante qui s’est perpétuée durant des millions d’années, les Dinosauriens. Si l’anthropologie actuelle ne donne guère aux mammifères plus d’un million d’années d’existence, les Dinos ont régné sur Terra depuis des centaines de millions d’années. Ils sont apparus il y a 230 MA, et ils auraient disparu il y a 66 MA.

Je n’y crois pas. Ils sont toujours là, cachés dans les entrailles de Terra. La Gnose les appellent des Archontes, du grec administrateur. Ils ont été, sont et seront longtemps encore les maîtres de Terra. Ils ont imposé aux humains la religion unique de l’argent, le culte de l’or chers aux dragons des légendes et aux archontes de Mammon.

Reptiliens

Le Grand Passage

Livre des Déesses, 2e partie — à paraître

Vers la fin de l’âge sombre viendra le temps du Grand Passage.
Peu à peu, la matière épaisse deviendra plus fluide.
Encore trop lourde, cette matière se fera plus légère.
Toute matière sera liquide, puis éthérique.
 En grand nombre seront venus les Maîtres Passants.

Le réveil d’Eloha

Eloha se réveilleront du grand sommeil vita!, la dormance reptilienne. Les déesses chasseront les mauvais dieux d’en bas.  Leur règne triomphal ramènera la joie, et toute discorde sera effacée des cœurs.

Chacun se préparera au stade ultime de notre évolution : l’abandon de cette planète matérielle et de toute matière. Au terme du Grand Passage, les vivants et les morts se retrouveront dans le plérôme, le Pré-Existant. Ce non-lieu hors du temps, hors du multivers, hors de l’espace où les âmes se réjouissent à jamais.

Pourtant la résistance secrète s’organisera selon deux axes extrêmes : ceux qui refusent d’abandonner la matière, et ceux qui refusent de croire à la vie éternelle désincarnée.

Source:https://eden-saga.com/livre-deesses.html


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Texte partagé par les Les Nouvelles Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre