Message de Catherine

Ce miroitement de la pensée qui scintille, ce souffle divin qui est en vous, l’entendez-vous ? Souvent, vous avez plus de ressources en vous-mêmes que ce que vous pourriez croire, ou que ce qu’on voudrait vous faire penser.

Votre société est à l’image d’un grand monopole de l’ancien, des anciens privilèges, qui n’a déjà plus cours. Mais le nouveau est déjà en marche.

Vous avez découvert de nouvelles manières de vivre, de penser, d’échanger. Vous trouvez plus agréable de communiquer, de vous entraider, plutôt que d’acheter. Vous préférez l’amitié à la concurrence, à la rivalité, pour beaucoup d’entre vous.

Cet aspect est essentiel pour rebâtir une nouvelle société, non plus fondée sur le pouvoir ou l’argent, mais le partage équitable de toutes les ressources. Chaque individu a en lui les clés nécessaires pour appréhender ce que sera demain. Tout ce qui passe par vous, par votre cœur, est bon, inspiré directement du divin.

C’est un fil d’or inconnu et éternel qui vous relie au ciel, il se manifeste de nouveau. Votre foi renaît de ses cendres, et vous êtes étonnés par la vie, par ce qu’elle a à vous offrir. La vie sait parfois vous montrer de manière à priori fortuite que tout ce que vous pensiez vrai autrefois ne constitue que des préjugés. Votre monde, votre mode de pensée, est fondé souvent sur des probabilités. Il vous arrive, de plus en plus souvent, d’entrevoir l’avenir. Vous réalisez que ces prémonitions, ces tout petits rien en apparence, sont en réalité des choses qui vont au delà de toute logique.

Le mode de pensée des robots, des ordinateurs, est fini, purement binaire et conceptuel. L’intelligence de l’être humain est infinie, car elle va dans toutes les directions, elle dépasse la seule notion d’intellect.

À notre niveau à nous, dans les royaumes de l’au-delà, nous assistons de loin à l’avènement du nouveau monde. Les bases sont en train d’être posées maintenant, ce sont les nouveaux enfants, les nouvelles idées. Tout ce qui vient tend à être de plus en plus parfait, au niveau des concepts, de la protection des écosystèmes et de la santé, mais aussi de l’esthétique. Lorsque vous créez un projet, vous tendez à en appréhender tous les détails de manière bien plus vaste. L’être humain va au delà de sa simple petite personne, il sait que chaque projet aura des conséquences pour les générations futures.

Lorsque nous sommes égoïstes en notre vie matérielle, nous devons réapprendre l’altruisme dans le monde d’après. Je n’étais pas spécialement égoïste en ma vie d’autrefois, mais parfois, je ne faisais pas trop attention aux autres, à leurs besoins d’intimité. J’étais souvent une femme assez bavarde, un peu envahissante parfois, par excès de curiosité. Je souhaitais tout connaître d’un être, alors qu’au fond de lui, il n’avait pas vraiment envie de partager son jardin intérieur. Je réalise à présent combien cela pouvait mettre mal à l’aise quelquefois, qu’il s’agissait d’un manque d’attention, de prévenance, de ma part.

Réaliser et combler nos petits défauts, un certain manque de savoir vivre qui ressurgit, est un travail ardu. L’être humain est par essence fier. Il est difficile de prendre conscience de certains aspects de sa personnalité, comme parler trop vite, trop fort, ou simplement manquer de sincérité. Ce sont des choses que la société, la famille, a profondément enracinées en nous. Il est difficile de se départir de certaines phrases, qui sont devenues des réflexes auto entretenus avec le temps.

Je sens de l’étonnement en toi, mais j’ai découvert que j’étais aussi une femme orgueilleuse. J’étais prête à aider les autres, mais je ne voulais pas forcément de leur aide en retour. Je pouvais être blessante en certaines occasions. La maladie a mis cela au jour. Je te remercie d’accepter de continuer à échanger avec moi, car certains moments ont dû être bien terribles à traverser.

Tu penses que ma sagesse mérite d’être lue et partagée, et je t’en remercie. C’est amusant, émouvant, de penser qu’on a toujours une vie ici bas, une influence quelconque bien que l’on ait disparu physiquement. (elle est très émue)

Avant de passer dans l’autre monde, j’étais persuadée que la conscience de l’être humain, de l’être aimé, ne survivait pas forcément à la « barrière » de la mort. En réalité, la mort n’est pas une barrière, c’est juste une porte. L’espace séparant les rivages des deux royaumes est très mince.

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Texte partagé par les Les Nouvelles Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre