Inspiration de l’Être exprimée par Agnès Bos-Masseron.

Depuis la pleine présence, déjouer tous les automatismes, les automatismes de pensée, de compréhension, tous ces automatismes qui font toujours retourner dans les mêmes rails, les rails de la méfiance, des interprétations erronées, des habitudes, des actions compulsives. « L’humanité a toujours fait cela, alors je fais cela. » Déjouer ces modes de fonctionnement pour retrouver la liberté du choix d’être à l’image de son intention la plus profonde, du choix d’être le pur reflet de sa divinité, du choix d’être un être unique qui choisit à chaque moment sa réalité.

Il est réel que la Terre s’ouvre. Il est réel aussi que cette ouverture est à la mesure du choix de chaque être, non pour la Terre elle-même mais pour chaque être puisque chaque être perçoit la Terre qu’il ou elle crée puisque seul est le silence et que la création est la projection de celui qui la perçoit.

Retrouver la réalité d’être créateur renverse, si l’on peut dire, le contexte du mode de fonctionnement. L’être alors sait qu’il ou elle crée sa réalité. Le poids de l’attention n’est pas tant sur les apparences de cette réalité mais sur l’intention qui est à la source et qui accompagne le jaillissement des apparences de réalité.

Toujours appuyer le poids de son attention sur l’attention offerte au silence, non de façon statique mais pleinement dynamique. L’attention offerte au silence est une relation, une relation d’amour car le silence est conscience, le silence est la vie, le silence est l’Être vénérable. Et reconnaître, au cœur du souffle, le silence. Ainsi le souffle est le pilier et nous ramène toujours à la source éternelle.

Au cœur du souffle, contempler le silence et toujours s’émerveiller. S’émerveiller de la beauté du pouvoir d’organisation de l’infini silence… S’émerveiller éternellement.

Et s’émerveiller amène au choix conscient, ce choix conscient qui permet justement de sortir de ce tissage de pensées, de formes-pensées, de croyances, de certitudes qui enferment et semblent masquer la simple réalité de ce qui est.

Choisir sa réalité en choisissant la fréquence à partir de laquelle sont générées les perceptions. Certains peuvent percevoir une réalité et d’autres une autre qui semble diamétralement opposée. La réalité perçue est toujours à l’image de la fréquence à partir de laquelle elle est émise. Et simultanément, la fréquence détermine la perception car l’on ne voit que ce que l’on est.

L’invitation est, au sein de l’émerveillement, de grandir encore et toujours en conscience, de grandir encore et toujours dans cette perception raffinée qui permet de percevoir avec toujours plus d’acuité ce qui est un simple automatisme programmé par ce tissage de formes-pensées ou ce qui est la simple réalité unique correspondant à l’unicité de la fréquence que l’on émet. C’est là qu’est la passion d’être vivant, émettre une fréquence unique.

Pour développer cette acuité de perception, de conscience, de vigilance-amour, il est beau encore et toujours de vivifier toutes ses structures que ce soit la structure corporelle, celle énergétique ou sensorielle, ou même relationnelle. A partir d’où est-ce que je base ma réalité ? A partir d’où est-ce que j’émets la fréquence qui projette cette réalité ? A partir d’où toujours… Trop souvent l’humanité croit diriger les rênes. Embrasser la vision la plus vaste et la plus belle est acte de dévotion.

Toujours être rayonnement. Toujours être pleinement participant à cette fraternité qui incessamment bénit. A travers chaque souffle, à travers chaque mouvement, chaque silence, bénir éternellement. C’est bien le plus beau mode de fonctionnement, n’est-ce pas ? Et l’unique correspondant à la vibration la plus haute. Bénir éternellement sans aucun jugement, sans aucune autre implication que d’être cette source éternelle, ce jaillissement du cœur qui s’exprime à travers chaque apparence de vie. Ce simple acte de bénir peut transfigurer les réalités.

Pour accompagner ce choix conscient de chaque moment, oser dynamiser les structures corporelle, mentale, émotionnelle, bien au-delà de ce qui est entendu normalement par dynamiser. Le corps se doit d’être pulsation de vitalité. Tous les corps se doivent cela aussi, toutes les parcelles de l’être.

Intensifier le dynamisme, ainsi multiplier à l’infini la fréquence de la vibration d’émerveillement. Ainsi simplement bénir la Terre dans chaque moment.

S’émerveiller parce que le cœur est le temple et que concrètement cette conscience que le cœur est le temple est la gratitude offerte à tous les jaillissements projetés de ce temple-cœur. Tout cela multiplie la plénitude d’être le corps-lumière. La plénitude multipliée permet à la fréquence de s’élever. La fréquence plus élevée ouvre à la réalité correspondante qui va aussi s’élever.

Plus que jamais, faire le choix conscient d’optimiser la relation avec son corps, avec son environnement, avec la nature. Honorer les arbres. Ils sont maîtres. Ils opèrent la tendre reliance, la tendre reconnexion par leur simple présence et leur simple exemple d’être le rayonnement de verticalité du vivant.

L’un des fondements de la vie sur Terre est de ne regarder que la beauté, de s’émerveiller de la beauté au sein même de la beauté, ainsi de n’animer que cela, de magnifier cela, d’en être l’élève et le maître.

L’heure est venue d’incarner l’éternité de la victoire, l’émerveillement devant la splendeur d’être créateur et de créer sa réalité à l’image du-de la Vénérable. Sacré est le don de l’incarnation.

Auteur : Agnès Bos-Masseron

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Texte partagé par Les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre