Par Michel Canon
Au regard des nombreux événements positifs qui se déroulent actuellement, beaucoup s’acharnent pourtant — au point de s’en écorcher l’esprit — à chercher ce qui pourrait encore être négatif, comme pour satisfaire un besoin insatiable de lugubre. Au lieu de faire preuve de discernement face à l’évidence des faits et des actes concrets, ils persistent, par un réflexe presque pavlovien, à critiquer de manière virulente et souvent irrationnelle.
Parallèlement, ils s’accrochent à certains personnages des réseaux sociaux — informateurs, tarologues ou influenceurs — qui se complaisent dans un océan d’encre noire, tant leur propre zone d’ombre demeure profondément enfouie dans leur terreau intérieur.
Les vérités sur le monde éclatent pourtant au grand jour, mais pour une partie de l’humanité, c’est tout simplement « trop beau pour être vrai ». Cette fraction préfère alors demeurer dans un univers miséreux et terrifiant, en quête perpétuelle d’un bonheur qu’elle juge inaccessible.
Paradoxalement, ce qui les effraie le plus est souvent la peur d’être heureux. Ce mécanisme inconscient ronge l’esprit et émousse la justesse de l’intuition.
Ce constat concerne particulièrement des individus dont la spiritualité reste limitée, souvent tournée vers le spectacle d’eux-mêmes. Ils s’enferment dans un amour illusoire qui leur fait entrevoir un monde meilleur, mais seulement après avoir franchi des étapes interminables de souffrance — des étapes qu’ils imaginent sans fin.
Par conséquent, ce monde utopique n’arrive jamais, car ils ajoutent eux-mêmes des obstacles, un à un, sur leur chemin, au fil du temps qui passe.
Avoir pris conscience de l’existence de l’État profond n’est pas en soi une preuve d’éveil véritable ; ce n’est qu’une étape dans le parcours d’apprentissage de l’âme.
Encore faut-il accepter la vérité qui se cache derrière les rideaux de cette grande scène initiatique et reconnaître que tout, absolument tout, œuvre pour le bien ultime de l’humanité.
Les personnes que l’on appelle communément les « normies » ne sont pas toujours celles que l’on croit. Certes, beaucoup n’ont pas conscience de ce qui se joue à l’échelle mondiale, mais leur énergie vibratoire est parfois bien plus élevée que celle de certains qui se pensent au sommet de la montagne spirituelle. N’oublions jamais ceci : c’est l’énergie vibratoire qui détermine notre place dans le Nouveau Monde, et non ce que nous croyons être. Elle ne ment jamais, même si nous pouvons nous mentir à nous-mêmes.
Les réseaux sociaux sont devenus le refuge d’une spiritualité souvent perdue, une véritable caverne où l’ombre domine et où la lumière n’est plus qu’une lampe-torche vacillante. Cette fausse spiritualité, ou ce pseudo-réveil, inonde les fils d’actualité de partages toujours plus mortifères les uns que les autres. On y remet en cause, par exemple, Trump, Robert Kennedy Junior, Musk et d’autres figures perçues comme positives, sous le prétexte récurrent que « c’est encore trop beau pour être vrai ». Le négatif est devenu leur raison d’être.
Si ces personnes étaient réellement réveillées ou éveillées, elles ne pourraient tout simplement pas diffuser du négatif, même sous couvert « d’informer » leur prochain.
Ce texte n’est ni clivant ni jugeant ; il ne vise pas à séparer les individus les uns des autres. Chacun reste libre de ses choix et de ses actes. Il s’agit simplement d’une observation lucide, d’une évidence fondée sur la constance morbide de certains esprits. Il est parfois nécessaire de dire les choses telles qu’elles se présentent à soi, sans détour.
Ce n’est pas un drame de dire la vérité.
Le vrai drame, c’est de continuer à nier ce que l’on fait, au lieu d’incarner pleinement ce que l’on est.
Michel
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Texte partagé par Les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre

