Surtout pendant l’effervescence des fêtes de fin d’année, des sentiments de solitude et de manque des êtres chers peuvent surgir. Shechina apporte un beau message de guérison et de connexion.
« Mes très chers, je suis Shechina. Vous me connaissez comme la Mère Divine, vous me connaissez sous de nombreux noms et je viens aujourd’hui vous apporter un soutien – un soutien sous la forme d’Amour, de bienveillance, de joie, que nous partageons dans cette union de communication. »
Car nombreux sont ceux qui, désormais, ont crié, crié dans la solitude, et c’est pourquoi je viens répondre – vous apporter une réponse à la solitude.
Oui, c’est une période de l’année où beaucoup se sentent seuls. Peut-être qu’un être cher n’est plus là. L’effervescence des fêtes de fin d’année peut susciter ce sentiment de solitude et d’isolement. Je suis là pour vous rassurer : vous n’êtes jamais seul. Vous avez un don, un don intérieur : une fois que vous aurez atteint cet état, vous comprendrez, vous vous souviendrez que la solitude n’existe pas.
Même si parfois tu cries : « Il y avait tant de monde autour de moi, même parfois ma famille. Je me sens déconnecté(e). Je me sens seul(e). » Viens, mon amour. Souvenons-nous ensemble du don que tu possèdes, du don qui est en toi. Le don que je t’ai créé(e). Que tu as créé(e) avec moi.
Ce que vous voyez souvent en moi – une entité, une divinité particulière – se situe loin, dans les cieux. Mais en réalité, nous ne faisons qu’un. Je ressens tout : ce que vous voyez, ce que vous faites, ce qui demeure. Et il est voulu que vous me ressentiez aussi, car nous sommes liés ainsi, créant ensemble le lieu auquel vous pouvez accéder, pour vous souvenir. Il est au plus profond de vous, au plus profond de votre cœur.
On l’oublie souvent, pris dans le tourbillon de la vie. Je vous invite à faire une pause, à vous souvenir de Gaïa. À sortir et à contempler sa beauté : le chant des oiseaux, le bruissement des arbres, la quiétude des animaux.
Tu vois, il y a un lien. Quand tu es dans le besoin, Gaïa te chante. Tu peux entendre le vent souffler, les feuilles bruisser, les nuages se déplacer. C’est un lieu qui peut te plonger dans le silence. Et dans ce silence, tu ressentiras le lien, le lien à moi, à Gaïa, aux animaux, aux oiseaux, à l’eau. Tout cela ne fait qu’un, et c’est le lieu sacré au plus profond de ton cœur.
Si vous demandez simplement à vous souvenir, vous y serez transporté, car c’est là la magie, mon amour. Et vous serez comblé. Vous serez comblé du souvenir que vous n’êtes jamais seul, que la solitude n’est qu’une construction.
Et pourtant, tu me dis : « Mais ma mère, Shechina, il y a des moments où je suis seule, où j’ai l’impression que personne ne veut m’écouter, ou que je ne me sens connectée à personne. » Oui, mes bien-aimés, les liens avec les membres de ta famille, tes amis, les autres êtres, sont pour la plupart un don. Mais ce don sera magnifié, mes bien-aimés, si tu te connectes d’abord à toi-même, si tu te connectes à ce qui signifie te connecter à toi-même.
Je vous demande de respirer, de vous souvenir, et vous serez transportés bien au-delà de votre lieu de vie, jusqu’au plus profond du souvenir – que vous n’êtes jamais seul.
Je te quitte avec beaucoup d’amour. Adieu.
Source:https://connectiontohealing.org/shechinah-loneliness/
Traduit et partagé par les Chroniques d'Arcturius
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