D’innombrables civilisations ont précédé la nôtre. L’Égypte antique est une des plus fameuses. Toutes, elles semblent n’avoir eu qu’un seul but : l’éveil. Cette noble préoccupation n’est plus prioritaire depuis l’apparition des religions. Toutes, elles semblent n’avoir qu’un seul but : hypnotiser leurs fidèles pour les maintenir dans un sommeil profond.
Zombies inconscients
Supposons un instant que nous soyions des aliens ; comment pourrions-nous définir notre civilisation ? Comme je viens de le faire — si nous sommes honnêtes, nous la verrons ainsi : une civilisation de zombies inconscients de leur déchéance…
Pendant des centaines de milliers d’années, notre espèce a mis au point d’innombrables techniques visant à restaurer l’être humain dans sa grandeur originelle, à faire de lui l’égal des hommes surdoués qui l’ont créé. Ou des femmes sudouées ?…
Une femme ? C’est un homme réussi.
C’est la vocation profonde de notre espèce. Pourquoi l’avons-nous oublié? Est-ce donc notre idée du progrès? Ne se soucier que de la matière qui passera, et ignorer l’esprit qui dure?
« Si les hommes n’ont pas pour unique objet le passage dans l’état d’éveil, c’est que les difficultés de la vie en société, la poursuite des moyens matériels d’existence ne leur laissent pas le loisir d’une telle préoccupation. Les hommes ne vivent pas seulement de pain, mais jusqu’à présent notre civilisation ne s’est pas montrée capable d’en fournir à tous. A mesure que le progrès technique permettra aux hommes de respirer, la recherche de l’éveil, de l’hyperlucidité, se substituera aux autres aspirations. La possibilité de participer à cette recherche sera finalement reconnue parmi les droits de l’homme. La prochaine révolution sera psychologique. » (source)
Civilisation des pyramides
En 1992, quand j’ai commencé la quête qui m’a mené ici, je n’avais compris qu’une seule chose : nos ancêtres surhumains furent les maîtres de la foudre, leur arme d’éveil préférée. Je n’avais pas encore vu que pour ces géants, l’éveil était partout.
La civilisation des Pyramides a couvert toute la terre. Elle fut d’abord développée en Afrique, par des géants de 4m ou davantage. Ils étaient noirs de peau et la lumière brillait en eux.
La civilisation des Pyramides
Pyramides et mégalithes
Le mystère de la Grande Pyramide
Pyramides d’Europe et d’Afrique
Pyramides d’Amérique et d’Antarctique
Pyramides en ciment ?
Bosnie : la pyramide du Soleil
Bosnie : découvertes pyramidales
Teotihuacan
Supervie
Obsédés par l’éveil, galvanisés par la supervie, et non hantés par la mort comme le radotent les égyptologues. À les en croire, toutes les créations architecturales du génie humain n’ont eu que cette fonction : servir de tombeaux !!! Cette obsession morbide de nos experts du passé en dit long sur notre futur. Nous sommes mortels, notre civilisation aussi — de plus elle est condamnée à brève échéance. Comme nous tous d’ailleurs.
En ce cas, comment reprocher à ceux-là ce qui n’est que clairvoyance ? C’est la fin du monde qu’ils redoutent en loucedé. Leur propre fin qu’ils appréhendent.
Messieurs les archéo-croquemorts, la mort approche, vous le saviez. Alors surtout ne haussez pas les épaules en lisant ce qui vient : quelques techniques d’éveil pratiquées par la Civilisation des Pyramides et par ses héritiers.
« Voir » est une façon particulière de sentir que l’on sait quelque chose sans l’ombre d’un doute.
Principales techniques d’éveil
– La foudre, et notamment la foudre en boule, recueillie dans des temples dédiés, créait une surtension du système nerveux susceptible de déclencher la montée de kundalini et l’éveil. La foudre qui éveille ou culte d’Isis est devenu le culte de Sol Invictus qui se fondra ensuite dans le christianisme. Les pyramides sont parmi les plus perfectionnés des temples d’éveil fulgural. D’autres sites mégalithiques comme Avebury ou Stonehenge ont joué un rôle majeur.
– Les trépanations néolithiques montrent la pratique de l’éveil par le scalpel, avec excitation adéquate de l’épiphyse jadis nommée « glande de l’éveil« . Certes elle requiert la compétence d’un sorcier chirurgien surdoué…
– La géo-énergie ou vril, a été utilisée avant, pendant et après la foudre, à peu près dans les mêmes conditions et dans les mêmes temples. Ce fameux vril, qui rejoint et dépasse l’électricité, est composé de l’énergie atmosphérique et tellurique, de la gravité et du magnétisme. Là encore, c’est une surtension du système nerveux qui apporte l’éveil de la kundalini.
– L’éveil électrique utilise le même principe de survoltage du système nerveux. Il était pratiqué dans des caissons comme à Denderah, ou avec des casques sous tension, ou encore des lances-rayons de types et de formes variées : la boule rouge et rayonnante qui surmonte la couronne d’Horus, les douloureuses couronnes de son père Osiris, le lance-rayon de Zeus le vajra d’Indra ou Mjöllnir de Thor en sont de bons exemples.
Le vajra ouvert était un lance-rayon antique capable du tuer, de guérir ou d’éveiller. Le Bouddha historique ignorait son usage sacré, il l’a fermé pour le rendre inoffensif. C’est devenu un objet rituel dépourvu d’utilité pratique.
Les drogues
– L’usage de drogues psychotropes a longtemps perduré comme moyen d’entrer dans son rêve, intériorité qui ouvre l’éveil. Mais notre époque vit sous le signe du déclin. Nous sommes dans la toute fin de l’âge de fer, le plus terrible, celui qu’on nomme aussi l’âge des ténèbres. L’hindouisme l’appelle Kali yuga.
– Les anciens Celtes et Vikings raffolaient des potions magiques. Leur usage appelait à de grandes précautions. Leur puissance était si grande qu’elle pouvait aisément tuer une personne non préparée.
Les drogues sacrées sont devenues récréatives. Aucun paradis artificiel ne mène à l’éveil. Leur consommation ne peut que renforcer l’ego destructeur, exacerber le moi dominant, humilier le moi dominé, selon les êtres et les substances. À haute dose, elles endorment et déforment jusqu’à détruire la vie.
Autres chemins d’éveil
De nombreuses méthodes ont été utilisées au fil des âges. Le pouvoir les a d’abord encouragées, puis tolérées, puis combattues. A présent presque tout ce qui amène à l’éveil est jugé dangereux donc illégal. Certaines de ces techniques existent toujours, mais sans leur fonction première, le temps les a dévoyées. Ainsi la sweatlodge est devenue le sauna finlandais ou le hammam arabe. Tout au plus hygiéniques, ils n’ont plus rien de sacré.
– La transe musicale a longtemps été pratiquée dans les grottes et les temples à l’acoustique appropriée. Les Chrétiens l’ont pratiquée en France médiévale. Elle est encore utilisée par les chamanes, les Soufis, les Tibétains, les Celtes.
Très en vogue chez les jeunes, elle revient dans les fest noz ou les goas. Pratiquée sans maître de transe au sens médiéval du terme, elle ne permet pas la catharsis individuelle, prélude nécessaire à l’éveil. Sauf heureux hasard, les goas d’Inde n’éveillent personne. Ce n’est pas leur but. À Goa, on vient prendre son pied et tous les moyens sont bons.
– La sweat lodge des Lakotas est un parfait moyen de sortir du corps. Il faut jouer le jeu de la douleur dominée, se jeter à l’eau, même bouillante, la sortie de corps dépend de cette discipline. Elle a malheureusement tendance à devenir plus récréative que créative. Souhaitons que la sweat lodge ne devienne pas le Club Med des bobos new age.
La libre pratique des guerriers Lakotas était encore sincère et fructueuse au siècle dernier, comme en témoigne Tahca Ushte, Cerf Boiteux. À présent elle est marchandisée par les héritiers Lakotas. Ils en ont fait tout un bazar qui se transforme en religion mercantile.
– La méditation – accompagnée ou non de musique, avec ou sans consommation de psychotropes – est une des techniques qui a perduré inchangée dans son esprit et sa fonction première : un chemin d’éveil. Le mien s’en est servi souvent. Souvenez-vous que la méditation se pratique sans pensée, hors du mental rationnel. Il est plus facile pour un occidental de méditer lors d’une activité physique que dans une position de yoga. Méditer en faisant l’amour est une joie puissante pour les deux partenaires.
Le mental intuitif est un don sacré et le mental rationnel est un serviteur fidèle. Nous avons créé une société qui honore le serviteur et a oublié le don.
Amers Indiens
Il y aurait beaucoup à dire et à redire sur les différentes méthodes de méditation proposées à nos contemporains. On connaît mon aversion pour les sectes et les religions, auxquelles je dénie le monopole de la méditation ou de la prière, qui en est une noble forme.
Chacun dans le secret de soi sait comment prier, comment se recueillir, comment méditer. Les donneurs de leçons sont inutiles et malfaisants, telle est la dangereuse leçon que nous donnent les Amérindiens. Indiens amers, il y a de quoi.
Ils n’ont pas pu me changer en pomme – rouge dehors et blanc dedans.
L’éveil dans une boîte
La technique était probablement très complexe, ce qui explique pourquoi après avoir été parfaitement maîtrisée par les Dieux atlantes et hyperboréens, la connaissance exacte, transmise uniquement aux initiés, a été progressivement perdue.
Ainsi, la Bible nous enseigne que les Lévites étaient seuls habilités à manier l’Arche d’Alliance. La raison en était très simple : l’Arche divine pouvait aussi bien se réveiller que tuer. Tel est le pouvoir de l’énergie vril.
Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort.
Le contraire, hélas, est également vrai : Ce qui ne nous rend pas plus fort, nous tue.
Un mystérieux caisson
Quelles que soient l’époque, la latitude et les circonstances, il semble que nos ancêtres aient toujours recherché l’éveil, l’illumination, le vide mental qui permet la plénitude intérieure. D’innombrables techniques ont été utilisées dans ce même but. Le bas-relief égyptien qui suit montre l’utilisation de ce que je pense être des caissons à Vril, sur le modèle des caissons hyperbares des plongeurs ou des caissons de privation sensorielle qui faisaient nos délices dans les années 80.
On notera la présence de câbles électriques reliant les caissons à des générateurs. Allongé nu dans ce caisson, le postulant recevait son baptême au vril. La décharge convenablement réglée assurait l’éveil sans risques majeurs.
On notera aussi que les câbles se raccordent aux caissons par une grande fleur de lotus, symbole d’éveil : la fleur du lotus bleu était consommée pour ses pouvoirs psychiques, elle stimulait la kundalini dont la montée provoque l’éveil.
…Lampadaires ?
Y officient des géants qui manipulent un appareillage, où l’on retrouve le pilier djed — ainsi que des êtres plus petits qui participent à l’activité en cours, quelle qu’elle soit. Les petits sont les humains, les géants sont les dieux d’avant.
Des mouches pour des gamins méchants, voilà ce que nous sommes pour les dieux; ils nous tuent pour s’amuser.
Comme on peut s’y attendre, les égyptologues voient dans le pilier djed et dans ces espèces d’ampoules géantes je ne sais quelles allégories qu’ils sont les seuls à connaître. Moi qui ne suis pas égyptologue, j’y vois ce que tout le monde voit, un appareil, une machine électrique.
D’ailleurs le nom qu’on a donné à ces ampoules — il y en a deux, comme on le voit en dessous — fait référence à l’électricité. Certains les ont baptisées les lampadaires de Denderah.
Caissons d’éveil
Cette machine devait servir à quelque chose d’utile, comme provoquer une montée d’énergie, par exemple. Sur le caisson figure un serpent, symbole de la kundalini qui se déploie. On peut l’interpréter aussi comme le filament d’une ampoule électrique. Les deux interprétations sont très compatibles. Serpent ondulant ou électricité, selon moi cette machine était utilisée pour un apport d’énergie vril. Dans le but manifeste d’éveiller ceux qui étaient installés dans les « ampoules » aux serpents.
Certes, il y a pour ça une foule d’autres moyens coquins que les Égyptiens devaient connaître aussi. En tout cas, les anciennes populations de l’Inde s’y adonnaient avec délectation, comme en témoignent les reliefs ornant les temples antiques.
C’est la voie du blâme, le Kama Soutra, le chemin sacré de l’éveil par la sexualité. Si nous avons du mal à accepter, sachez que les Indiens d’aujourd’hui sont encore plus choqués que nous. Cette pratique de la main gauche porte un nom qui les effraie : le tantra. Tout le monde s’en détourne, offusqué. Même chez nous. Voyez plutôt cette définition très édulcorée.
Tradition spirituelle ancienne originaire de l’Inde, le tantrisme se concentre sur l’harmonisation du corps, de l’esprit et de l’énergie. Le terme « tantra » signifie littéralement « tissage » ou « trame », symbolisant l’interconnexion entre tous les aspects de l’existence. (source)
Oui, ça choque. Du coup, des imbéciles de chez nous ont osé inventer le tantra sans sexe… À quand le ciel sans étoiles ?
Djed, stabilité
Le pilier djed est souvent représenté avec des bras, qui soutiennent ici un des caissons. Cette façon de créer le contact fait penser au vril. En Egyptien ancien, djed signifie stabilité, durée. Un indice qui m’amène à penser que le djed pouvait servir à prolonger l’existence des dieux mortels, comme le soma pour les dieux hindous, l’ambroisie pour les dieux olympiens et l’hydromel pour les dieux celtes. Un petit coup de survoltage, et hop, l’ADN était rectifié, le sujet rajeunissait.
Voilà ce que cette image me raconte. Toutes les images parlent, même si peu de gens comprennent leur langue. Les différentes scènes des bas-reliefs ou des fresques égyptiennes sont si précises qu’on peut penser que chaque détail est signifiant. On n’a pas le droit d’en négliger un seul. Le djed n’est pas un symbole, c’est un appareil précieux, d’une utilité majeure, d’où son omniprésence dans l’iconographie égyptienne. Ce pays fascinant n’aurait rassemblé que des chevriers en guenilles s’il n’avait pas reçu l’héritage atlante.
Le dieu bélier d’Égypte
Banebdjedet ou Khnoum, dieu à tête de bélier, régnait sur la région de la première cataracte d’où surgissaient les eaux de la crue. Il fit apparaitre les premiers êtres vivants sur son tour de potier.
Dans la mythologie égyptienne, de nombreuses divinités occupent une place essentielle, chacune ayant ses caractéristiques et ses histoires uniques. Parmi elles, Banebdjedet, le dieu bélier, se démarque par sa puissance et sa symbolique. C’est tout d’abord un dieu créateur, équivalent de Prométhée chez les Grecs ou Enki Ea chez les Sumériens.
Puisqu’il créa l’être humain sur son tour de potier, il s’identifie aussi au dieu biblique qui façonna les premiers humains avec de l’argile. La terre du potier fut aussi utilisée par la Déesse Inanna, parèdre d’Enki Ea.
Le pilier Djed
Banebdjedet était souvent associé à d’autres divinités, telles que Rê ou Ra, Osiris et Horus. Le légendaire égyptien en fait le fils de Ra, le dieu du soleil, qui n’est autre que Rama. Quant à Osiris, on a vu que Bélénos y est lui aussi associé. Le dieu gaulois étant lui aussi un fils de rama ou Ra, le Soleil d’hyperborée, on est en droit de se demander si Bélénos et Banebdjedet ne sont pas le même dieu sous deux noms.
Baneb + djed + et = Baneb et le djed?
Baneb pourrait être une altération de Belen. Djed évoque le pilier djed, que les Égyptologues prennent pour un symbole. Je n’adhère pas à cette manie d’appeler symbole ce qu’on ne comprend pas. Raccourci facile, la symbolique est une invention récente. Les anciens montraient des objets réels, représentés de façon réaliste. Comme ces objets ont disparu, on ne peut les identifier. Et il ne vient à l’idée d’aucun spécialiste de se demander s’il ne s’agit pas d’un objet technologique.
Le lien du Djed avec Osiris, voire Sokar, dieu des morts et un des plus anciens dieux d’Égypte, ne semble pas discutable aujourd’hui. Reste à savoir où, quand, comment, pourquoi. Sokar dieu des morts a été identifié à Khnoum / Banebdjedet, autre dieu des morts qui les guidait dans les méandres du monde inférieur.
Suite dans Bélénos et Toutatis
Source:https://eden-saga.com/differentes-techniques-antiques-d-eveil.html
- POSER UN GESTE D'AMOUR -
Une contribution volontaire
aide véritablement à maintenir ce site ouvert
et ainsi vous devenez un Gardien Passeurs en action.
CLIQUEZ ICI POUR CONTRIBUER
Merci
Texte partagé par Les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre