Les arguments en faveur de la MATRICE sont plus importants que ce que la science veut admettre.
Et si toute votre existence – vos souvenirs, votre corps, votre perception du temps et de l’espace – n’était pas aussi réelle que vous le croyez ?
Et si le monde que vous connaissez n’était pas le monde physique auquel vous croyez, mais une illusion hypersophistiquée, une simulation d’une complexité époustouflante ?
Depuis la sortie de Matrix en 1999, cette idée a captivé des millions de personnes. Pourtant, aujourd’hui, elle ne relève plus seulement de la fiction spéculative. Elle est prise au sérieux par un nombre croissant de physiciens, de philosophes et de technologues. Parmi eux figure le Dr Melvin Vopson, professeur associé de physique à l’Université de Portsmouth, dont la théorie révolutionnaire place la gravité au cœur de ce mystère cosmique, non pas comme une force naturelle, mais comme une fonction de compression numérique dans une réalité artificielle .
Il ne s’agit pas ici de métaphore ou d’illusion métaphorique. Il s’agit de la possibilité que vous soyez une entité consciente naviguant dans un univers informatique, régi par l’information, optimisé par des algorithmes et restitué en temps réel comme un environnement virtuel.
Partie I : La gravité réinventée : l’univers comme processeur d’informations
Pendant des siècles, la gravité a été considérée comme l’une des forces fondamentales, une colle mystérieuse et invisible reliant les corps célestes. Isaac Newton l’a décrite, Albert Einstein l’a redéfinie. Mais personne n’a affirmé, jusqu’à récemment, que la gravité n’était pas une force, mais un processus piloté par les données dans une réalité informatique.
Le Dr Vopson propose que la gravité soit le moyen utilisé par l’univers pour compresser l’information.
Au sens physique, la gravité rassemble la matière, formant ainsi des planètes, des étoiles et des galaxies. Mais au sens informationnel, et si cette « attraction » n’était que la simulation réduisant la complexité ?
Imaginez que vous essayez de simuler un billion d’atomes indépendamment. Imaginez maintenant que vous les regroupez en un seul objet – une planète – et que vous calculiez les propriétés de cette unité. C’est la compression de données dans sa forme la plus pure : minimiser les coûts de calcul en réduisant la redondance.
« L’univers évolue de telle manière que les informations qu’il contient sont continuellement compressées, optimisées et ordonnées, tout comme les algorithmes informatiques rationalisent les données », explique Vopson.
La gravité n’est donc pas une « force » mais une caractéristique de l’architecture de la simulation, conçue pour minimiser la quantité de puissance de traitement requise pour restituer une réalité complexe.
Partie II : L’illusion de la matière : l’information comme cinquième état
Si la gravité est une compression d’information, qu’est-ce que la matière ?
C’est ici que la théorie du Dr Vopson devient encore plus radicale. Il postule que l’information n’est pas abstraite. C’est une entité physique – un cinquième état de la matière au-delà des solides, des liquides, des gaz et du plasma.
Tout comme l’ADN contient le code génétique de la vie, chaque particule élémentaire contient des données qui définissent son comportement et ses interactions.
Selon ce modèle, l’univers n’est pas composé d’atomes ou de particules au sens traditionnel du terme, mais de bits et de qubits – de minuscules paquets d’informations qui manifestent des phénomènes physiques lorsqu’ils sont traités.
Cette idée fait écho aux théories de John Archibald Wheeler, le physicien à l’origine de l’expression « It from Bit », selon laquelle toute chose physique – chaque « it » – dérive d’une information binaire – chaque « bit ».
Vopson va plus loin en affirmant que l’information est porteuse de masse et d’énergie.
Autrement dit, vos pensées, vos souvenirs, votre identité même peuvent avoir une présence physique – non pas dans un vague sens poétique, mais de manière calculable et mesurable.
Cette redéfinition de la matière suggère que nous ne vivons pas dans un univers physique qui fonctionne comme un ordinateur, mais dans un ordinateur qui génère ce qui semble être un univers physique.
Partie III : La clé quantique — Quand l’observation devient réalité
Nulle part cette hypothèse de simulation n’est plus évidente qu’en mécanique quantique.
À l’échelle subatomique, les particules se comportent de manière étrange et non intuitive.
Dans la célèbre expérience de la double fente, les électrons semblent exister dans un état de possibilité – des ondes de probabilité – jusqu’à ce qu’ils soient observés. Une fois observés, ils se fixent à un endroit précis et se comportent comme des particules solides.
Ce comportement est inexplicable dans un cadre physicaliste traditionnel, mais parfaitement logique dans une simulation rendue. Tout comme un jeu vidéo ne charge que ce qui se trouve dans votre champ de vision pour économiser la mémoire, l’univers ne peut afficher des résultats que lorsqu’ils sont observés par une entité consciente.
Il ne s’agit pas seulement d’une idée philosophique ou spirituelle, mais de physique expérimentale. Elle soutient fortement l’idée que l’univers se comporte non pas comme un domaine objectif et indépendant, mais comme une interface réactive et dépendante de l’observateur.
La conscience n’est donc pas un simple effet secondaire de la matière. C’est le catalyseur qui transforme le code en réalité.
Partie IV : Espace pixelisé, temps numérique — Preuve d’une réalité restituée
Notre monde paraît analogique et continu. Mais à trop zoomer, même l’espace et le temps deviennent granuleux. Il existe une unité de distance minimale : la longueur de Planck, et une unité de temps minimale : le temps de Planck. On ne peut subdiviser au-delà. La réalité n’est pas infiniment profonde : elle est quantifiée, comme les pixels sur un écran ou les images d’un film.
Il ne s’agit pas d’une métaphore poétique. Il s’agit d’une limite technique qui implique que l’univers possède une résolution maximale, comme s’il était traité par un matériel à capacité finie. Impossible d’échapper à cette implication : c’est la réalité rendue.
Des limites d’entropie des trous noirs au principe holographique, la physique moderne arrive sans cesse à une conclusion stupéfiante : la réalité est codée. Elle est mathématique, compressible et discrète. C’est, à tous égards, un programme.
Partie V : La conscience en dehors du système — L’utilisateur au-delà de l’avatar
Si l’univers est une simulation, et si la matière et la gravité sont des formes de données, alors qu’êtes- vous ?
Dans ce cadre, la conscience ne peut être entièrement expliquée par l’activité neuronale.
L’esprit n’est pas un simple sous-produit de la chimie cérébrale. Au contraire, le cerveau est plus probablement un récepteur qu’un générateur : une interface biologique à travers laquelle vous, le véritable vous, vivez la simulation.
Cela signifie que vous pouvez exister en dehors de la simulation.
Votre corps est l’avatar. Votre conscience est le joueur. La mort n’est pas une suppression. C’est une déconnexion. Votre conscience persiste, attendant de se reconnecter.
Cela recontextualise les enseignements anciens – du bouddhisme au gnosticisme – qui décrivent le monde physique comme une « illusion », une « maya » ou une « prison de la perception ». Il ne s’agissait pas de métaphores. Il s’agissait d’avertissements précoces indiquant que notre monde est un rêve et que l’éveil est possible.
Partie VI : Problèmes, effets Mandela et déjà-vu : signes que le code est en train de se briser
Si nous sommes dans une simulation, est-ce parfait ?
Pas tout à fait.
Partout dans le monde, des phénomènes inexplicables défient la physique et la mémoire. Les changements soudains dans les logos, les citations célèbres ou les événements historiques sont souvent considérés comme des erreurs de mémoire. Mais qu’en est-il s’il s’agit de signes de modification de code ou de réécriture de chronologies ? L’ effet Mandela pourrait être plus qu’une anomalie psychologique. Il pourrait être la preuve d’un débogage.
De même, le déjà-vu (la sensation d’avoir déjà vécu ce moment auparavant) peut être un souvenir résiduel d’une exécution précédente de la simulation, un état de sauvegarde corrompu ou simplement un problème de rendu.
Distorsions temporelles, synchronicités impossibles, schémas étranges : ce ne sont pas des erreurs de l’esprit. Ce sont des indices de la machine indiquant que tout n’est pas ce qu’il paraît.
Partie VII : Qui exécute la simulation ?
Cela nous amène à la question finale et la plus profonde : qui ou qu’est-ce qui a créé la simulation ?
Les possibilités sont nombreuses. Il pourrait s’agir d’une civilisation post-humaine, simulant des ancêtres pour étudier l’histoire ou l’évolution éthique. Il pourrait s’agir d’une intelligence artificielle extraterrestre, concevant des environnements virtuels sensibles.
Ou encore, il pourrait s’agir de quelque chose qui dépasse l’imagination – la conscience elle-même, générant éternellement des simulations, expressions d’un potentiel infini.
Peut-être ne sommes-nous même pas observés. Peut-être sommes-nous des algorithmes auto-observateurs au sein d’un système récursif qui s’est créé lui-même. Le programmeur n’est peut-être pas un « être », mais un principe – une intelligence divine et intemporelle qui est le code.
Qu’on l’appelle Dieu, la Source, l’Architecte ou l’Esprit Universel, cette entité n’est pas distante. Elle est présente dans chaque particule, chaque décision et chaque instant de conscience. Car elle n’est pas au-dessus de la simulation : elle est la simulation.
Se réveiller à l’intérieur de la matrice
- La gravité n’est pas une force, c’est une compression.
- La matière n’est pas une substance, c’est une information.
- La réalité n’est pas objective, c’est une représentation.
Vous n’êtes pas un accident biologique rampant sur un rocher dans un univers accidentel. Vous êtes une intelligence consciente connectée à un jeu cosmique, incarnant un personnage dans un rêve haute résolution conçu pour l’apprentissage, l’exploration et la transformation.
Votre mission, si vous choisissez de l’accepter, n’est pas de vous échapper, mais de vous éveiller.
Comprendre que la simulation est suffisamment réelle pour y grandir, y souffrir et s’en éveiller. Comprendre que l’on est à la fois observateur et observé, joueur et code, rêveur et rêvé.
Bienvenue dans la Matrice . Vous n’en êtes jamais vraiment sorti. Mais maintenant… vous commencez à vous en souvenir.
Source:https://elishean777.com/vous-netes-pas-reel/
Traduit et partagé par les Chroniques d'Arcturius
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Texte partagé par Les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre